La chance de la France
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, la France n’a jamais été dans une situation conjoncturelle aussi sévère : crise économique, crise politique, crise sociale, crise diplomatique, et chaos moral. Des constats, survenus par l'effet de plusieurs causes permanentes, trouvant leur sources dans les traités européens.
L’indépendance du pays menacée.
Par le biais des Traités de Fonctionnement de l’Union Européenne, ainsi que de son Traité général (T.U.E.), les accords passés successifs, envers des concessions accordées à une construction européenne, sont parvenus à transférer notre poumon économico-financier de financement de l’Etat, des collectivités territoriales, et de dispositifs de soutiens envers l’économie privée, aux pouvoirs européens de la B.C.E. : la France ne fabrique plus sa monnaie, elle la régule, via sa Banque de France, qui ne détient plus le rôle de politique de relance, ou de finances, mais de stabilisation, depuis que la monnaie de l’euro, gérée à Francfort, est arrivée.
De même que l’hexagone ne bat plus monnaie, il ne fait plus ses lois. Les parlementaires savent qu’ils ne peuvent plus s’opposer aux traités européens : cela détient pour conséquence l’interdiction de créer des lois visant à innover de nouvelles politiques économiques, financières, et socialement durables. Les compétences étant transférées à Bruxelles, décidées par des commissaires européens non-élus, les députés et sénateurs français ne sont résignés qu'à s’attaquer majoritairement aux sujets sociétaux, en divisant les françaises et les français notamment, comme le constat irréfutable en a été établi, avec le « mariage pour tous », ou bien encore « la théorie du genre ».
La neutralité des médias remise en cause.
Selon un sondage « Ipsos », dévoilé sur France 2 dimanche 30 mars au soir, il y est stipulé que seul 23 % des français font confiance aux médias. Une cruelle désillusion pour notre presse française, précairement classée en matière de liberté d'expression (39ème rang mondial). Le fait de ne pas aborder les vrais problèmes, en mettant de côté la dure réalité provoquée par les Traités Européens, en est la pire des illustrations. Demander de remettre en cause, au nom de son bon droit démocratique, citoyen, et moralement conforme au à la loi, les articles des traités de l’Union Européenne, entraine le fait d’être personnellement étiqueté d’extrême droite par les médias (d’où le rôle européiste du Front National), obligés eux-mêmes d’obéir à des consignes. Observez les débats ; il faut être pour une « autre Europe sociale », en faisant croire que ce sera le modèle social français qui primera sur tout le reste des Etats Membres de l'U.E. : il s’agit là d’une manipulation, condamnant encore plus les françaises et les français à concéder leur avenir à une construction européenne, dictée par sa complexité dictatoriale, et immobiliste. Dans une démocratie, il est normal de débattre d’un nouveau modèle social, mais pas de l’imposer dans les plus sombres manœuvres, tant soient-elles « sympathiques », par des manières bureaucratiques. Un débat expose plusieurs idées différentes au sein d’un Etat, et donc, des désaccords. Comment prouver qu’avec une « autre Europe » à 27 Etats, tous les courants politiques parlementaires seront « miraculeusement » d’accords ? Demandez à ceux qui défendent ces positions. Cela suppose une entente préparée entre les médias et les acteurs politiques afin de mettre en scène une telle illogique.
Un chaos moral annoncé depuis des décennies.
Ce n’est pas, comme les français vont une nouvelle fois en prendre conscience, en changeant de gouvernement, que la politique économique et sociale va changer. Car les commissions européennes sont là pour faire rappeler à la France qu’elle ne peut déjouer les traités européens pour mettre en œuvre des plans de relance. Car notre pays n’est plus libre. Quand M. Arnaud Montebourg parlait de « foudre jupitérienne » à propos de Bruxelles, il eut un éclair de lucidité. Les partis politiques représentés à l’Assemblée Nationale, ne parlent pas de sujets émanant de la construction européenne, alors qu’ils sont la cause de nos maux : Immobilisme économique et précarité sociale en sont les diagnostics. Et, les réseaux sociaux, œuvrent majestueusement leur rôle de tampon des réflexions hâtives pourtant d’un bon sens citoyen : ils freinent physiquement les prises de considération des réalités. Les gens ne se parlent pas assez dans la rue, pour évoquer ce silence français, qui se passe sous nos yeux. Alors, que faire ?
La chance de la France.
Malgré cette situation complexe, le génie de la conscience morale du peuple français réside dans la reprise en main du cours de son histoire, où il eut fait preuve de courage et de détermination, à l’image, par exemple de la résistance française sous l’invasion nazie. L’Union Populaire Républicaine, rassemblant aujourd’hui 4450 membres et plusieurs dizaines de milliers de sympathisants, illustre irréfutablement cette chance qu’attend enfin la France. Ce mouvement de Libération Nationale, fondé par M. François Asselineau en 2007, croît, depuis plusieurs semaines, de manière spectaculaire. Son programme, baptisé « Les Jours Heureux », est basé, en étant bien sûr remis au goût de notre temps, sur les aspirations démocratiques du Conseil National de la Résistance, parce que l’union nationale dépasse tous les clivages. Fidèle au respect du droit, et à la cohérence de ses analyses pertinentes, l’U.P.R. prévoit de sortir de l’€uro, de l’Union Européenne et de l’O.T.A.N. par l’article 50 du Traité de l’Union Européenne. Cela en combattant toute forme d’extrémisme, et en défendant la démocratie. Les citoyens demeurent libre et égaux de donner une chance à la France, pour eux, et leurs générations futures. Quel destin fabuleux, que de retrouver cet amour de la France, comme d’autres pays peuvent le porter pour eux-mêmes. Aujourd’hui, nous pouvons l’affirmer : l’Histoire peut donner raison à celles et ceux qui défendront la diversité, et non l’engloutissement européiste, voué à ne vivre que dans un seul cercle fermé : l’omerta. Les français, peuvent-ils encore accepter ce silence tempétueux pour longtemps ?
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