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Commentaire de JL

sur Monsieur le Premier ministre : Un choc de solidarité !


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Francis, agnotologue JL 3 avril 2014 10:29

titi,

votre idéologie n’a pas force de vérité révélée.

Est-ce que j’ai dit que la police dépend de la défense ? Ne déformez pas ce que j’ai écrit, svp.

C’est quoi cette histoire de ’gros postes’ ? Pourquoi faire une différence entre les salaires et les dépendes matérielles  ? Vous voudriez que les fonctionnaires achètent pour l’État du matériel sans être payé ? Vous voulez des fonctionnaires incompétents pour passer des marchés publics ? Belle mentalité d’escroc !

Vous voulez la mort de l’école publique ? Et que les miséreux demeurent analphabètes ? Vous voulez la fermeture des hôpitaux publics ? Et que les miséreux crèvent ? L’école républicaine, l’hôpital public ce n’est pas de la solidarité : c’est de l’humanité. Le contraire de la Fraternité républicaine c’est le racisme : ce racisme qui considère les pauvres comme des untermenshen, une sous-race d’humains.

Bon, pour le reste, vous commencez à tirer un peu trop sur la ficelle et à me gonfler, vous êtes depuis longtemps hors sujet ici : je vous rappelle le débat recadré ici par mon post du 2/4 10:06 :

’’ Qu’est-ce que vous nous chantez, avec ces histoires de solidarité obligatoire ?

Ce n’est pas l’État qui crée l’impôt, c’est l’inverse : l’impôt n’est pas une spécificité de gauche, dans l’Ancien régime, on en savait quelque chose ! Sous la droite aussi, avec les cadeaux aux copains du pouvoir, cette redistribution à l’envers dont parlait Rocard.

Solidarité obligatoire, dites vous ? Pfff ! Si solidarité obligatoire il y a, elle est la réponse du berger à la bergère : si le travail était rémunéré correctement, si les fruits de la croissance étaient répartis équitablement, la politique sociale serait superflue.

Il faut choisir : ou bien on accepte le traitement social de la misère ; ou bien on répartit correctement les richesses ; ou bien on assumer les dangers d’un monde dangereux : on vit dans des bunkers, on rétablit les bagnes ou la peine de mort, on entretient des armées de vigiles, etc, etc.’’

Un mot encore : c’est quoi cette comparaison merdeuse entre l’impôt du sang et l’impôt fiscal ? Les objecteurs de conscience n’étaient pas exempté de servir : ils étaient tenu de payer leur dette autrement en effectuant un service civil. Qu’est-ce que vous prévoyez comme substitution à l’impôt ? Les galères ?


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