Qui est Pascal Lamy ? lire ICI
en guise d’esquisse du personnage, quelques expressions glânées au fil de ce portrait :
Ce « Torquemada du libre-échange », affilié au Siècle, au CFR, et invité récurent du Groupe Bilderberg ...
« Le camarade Lamy » a déjà prévenu les Français et mis en garde Arnaud Montebourg : « La démondialisation est une thèse réactionnaire. »
« tête de Turc préférée des altermondialistes »
Pour le fondateur d’Attac, Bernard Cassen :
« Lamy tient exactement le même discours que Chirac. Tout en passant son temps à demander aux Français de s’adapter à la mondialisation, il essaie de faire croire qu’il fait le maximum pour en limiter les effets. Il mériterait de prendre sa carte à Démocratie libérale *, le parti de Madelin , car il n’y a pas un cheveu de divergence entre eux. »
* parti très libéral, et très atlantiste
Marc-Raoul Jennar écrit : « Défini par son maître, Jacques Delors, comme un “moine-soldat”, le commissaire européen met son savoir et son intelligence, en bon social-libéral, au service d’une vision marchande de la société qui, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, contribue à la destruction du modèle européen. Il inaugure son mandat de manière spectaculaire en proposant de lever l’interdiction d’importer en Europe des semences génétiquement modifiées en provenance des États-Unis. »
Pascal Lamy, le docteur Folamour de la mondialisation
Par Nicolas Dupont-Aignan le jeudi 28 février 2013
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/politiques-citoyens/article/pascal-lamy-le-docteur-folamour-de-131584
Pascal Lamy, Commissaire Européen, et fervent partisan de l’AMI Accord Multilatéral sur l’Investissement (en anglais M.A.I. : Multilateral Agreement on Investment)
L’AMI l’ennemi de la démocratie. Le principe central de l’AMI est de créer tout un ensemble de droits nouveaux pour les multinationales, au détriment des états et des populations, et sans aucune obligation en contrepartie.
Un piège transatlantique
par Serge Halimi, mars 2014
La Commission européenne négocie ce traité de libre-échange avec Washington au nom des vingt-huit Etats de l’Union ; le Parlement européen qui sera élu en mai devra le ratifier. Rien n’est encore joué, ...
... les termes du mandat de négociation confié aux commissaires de Bruxelles ont été cachés aux parlementaires du Vieux Continent, tandis que la stratégie commerciale de l’Union (s’il en existe une, en dehors de la récitation des bréviaires du laissez-faire) n’avait plus aucun secret pour les grandes oreilles américaines de la National Security Agency (NSA)
http://www.monde-diplomatique.fr/2014/03/HALIMI/50200
mais non, l’AMI de LAMY n’est pas de nos amis !