MdeP @ l’auteur
Pourquoi
la mort ?
Parce
que le vivant génère le temps. Que
ce temps du vivant est un temps fini, par opposition à
l’infini d’une courbure gravitationnelle (ce que j’ai écrit
avant la « découverte » publiée ces derniers
jours car j’avais estimé que l’univers en expansion se
comporte comme s’il était porté par une vague. Ce qui
est d’ailleurs la preuve d’un big bang).
Pour
que la vie soit possible, des conditons doivent être réunies
en même temps. Et notamment, et surtout, il faut un bouclier
thermique – la magnétosphère – qui protège
le vivant des UV mortels. Les océans (un océan mondial,
en fait) jouent naturellement ce rôle. C’est bien au fond des
océans, près des sources hydrothermales, que la vie a
commencé grâce à cette magnétosphère
naturelle.
D’autre
part, si le vivant a pu se maintenir pendant tous les bouleversements
géologiques et climatiques, c’est parce que l’oxygène
est présent dans la croûte terrestre.
Le
virus est un organisme conscient qui obéit à un réflexe
de survie. Et l’univers est conscient mais il n’est pas vivant. Car
il est statistiquement impossible
que toutes les conditions nécessaires à la vie soient
réunies en même temps ET au même moment dans notre
univers.
Car
le vivant fonctionne, en effet, à la lumière
artificielle (avec l’électron). Il mime la lumière
naturelle (du photon). Le vivant fonctionne sur une fréquence
qui n’est pas la même pour tout le vivant. Si vous changez la
fréquence du vivant, et notamment en ne le protégeant
pas des UV mortels, il meurt. En fait, il « grille » et
devient de la matière inerte.
Vous
pensez tous que la conscience est notre faculté de nous sentir
exister. C’est totalement erroné.
La
conscience, c’est la capacité de mettre en oeuvre ce fameux
réflexe de survie (auquel tout le vivant obéit), de
générer une fréquence pour fonctionner, de la
sélectioner plus précisément, de générer
le temps.
« La
clé de la conscience réside dans l’opération
d’appropriation de la lumière par sélection « deux
en un » par le vivant, de la fréquence lumineuse sur
laquelle il va fonctionner parmi toutes les fréquences de la
lumière blanche et de la fréquence sonore du bruit
blanc qui lui est associée dans une bande de fréquences...
Ainsi
le vivant, qui sélectionne (détermine) la fréquence
sur laquelle il va fonctionner, s’approprie réellement la
lumière : c’est en cela qu’il porte une conscience exprimée
dans ses capacités à la motilité et à la
manifestation de sa présence de moins en moins silencieuse au
fil du temps. »
Ceci
est un condensé. Tapez les mots clés.