L’ex-ministre du Grand-Orient Peillon (dont le père ça ne s’invente pas était un « banquier communiste », voilà ce qu’aurait qualifié certainement Audiard de « synthèse »…) voulait un meilleur enseignement - un meilleur matraquage oui - de la sainte shoââââh, et rétablir en réalité le délit de blasphème :
Et pour cause !
« En mai 2012, le site internet israélien JSS News notait que « Vincent Peillon, lui-même non juif (une de ses grand-mère était juive), marié avec Nathalie Bensahel (journaliste au Nouvel Obs), a célébré la bar-mitzva d’un de ses enfants il y a peu. Avec un pareil héritage, on peut être certain que l’apprentissage de la Shoah demeurera important pour ce gouvernement », « Le gouvernement “Ayrault 1” a de quoi satisfaire les Français d’Israël » »
Mais encore :
»Selon Jacques Benillouche du site Temps et Contretemps. Informations israéliennes, « Vincent Peillon a fait son “coming out” juif il n’y a pas longtemps, à l’occasion de « l’appel à la raison » Jcall, qu’il avait signé avec Daniel Cohn-Bendit, Elie Barnavi, Bernard Henri-Levy, Zeev Sternhell et Avi Primor. (…) En 2009, il avait célébré la Bar-Mitsva de son fils Elie à la synagogue de la Place des Vosges à Paris. Pour la circonstance, Vincent Peillon, qui a épousé en seconde noces la journaliste Nathalie Bensahel, avait mis les tefillins et était monté à la Torah. Agrégé de philosophie, il serait nommé ministre de l’Éducation Nationale » »