Il y a les réformes évidentes au niveau de l’Etat (pour réorienter les financements publics, comme je l’indiquais dans l’article) :
- Suppression d’un niveau de décision (conseil général ou régional ou autre) ;
- Réeffectation de certains fonctionnaires vers d’autres missions (savez-vous qu’l y a 150.000 fonctionnaire à Bercy et 10.000 sur tout le territoire français pour gérer les politiques de l’emploi) ;
- Non remplacement de fonctionnaires dans certaines fonctions ;
- Economie sur le train de vie de l’État et des élus (voir l’exemple Suédois) ;
- ... etc ...
Bref moderniser pour permettre d’investir sur l’enseignement, la recherche, les job center, l’aide à la création d’entreprise, ...
Il y a les réformes liées à l’évolution de la société :
- Allongement de la durée de vie au travail (est-ce choquant aujourd’hui de travailler jusqu’à 65 ans pour beaucoup de professions ? ;
- Remplacement des 26 contrats de travail actuels par un contrat unique et des garantiés dans les parcours professionnels ;
- Développer les fonds de pension pour garantir les retraites et assurer l’indépendance de l’économie française ;
- ... etc ...
Bref s’adapter au monde moderne Je ne souhaite pas allonger ce catalogue qui pourrait donner l’impression d’un programme électoral.
Mon propos est surtout de faire évoluer les comportements et la manière d’aborder les problèmes. Je ne refuse pas le débat idéologique, à condition qu’il se traduise à un moment par des propositions concrètes.
Les américains ont une phrase assassine sur les débats infinis des français : « So What ? ». Nous sommes d’accord sur les valeurs, discutons plutôt des projets.