@Redrock
Billet très intéressant, tout comme votre site de géopolitique.
@Werner
L’image que vous utilisez, liée à vos propos, cette liaison incestueuse entre les drapeaux de l’Union Européenne et des Etats-Unis d’Amérique, m’incite à vous suggérer un voyage en Grèce, par exemple, afin de vous donner l’opportunité de découvrir ce qu’est dans la réalité un pays soumis au traitement (je ne saurais parler de thérapie) que vous avez l’amabilité de développer longuement dans votre commentaire. Vous devriez lire les contributions qui figurent sur les blogs de Jorion, Sapir, Lordon, Werrebrouck et réfléchir. Lorsque Naomi Klein sous-titre son ouvrage intitulé La Stratégie du choc en parlant de « La montée d’un capitalisme du désastre », elle reste bien loin de la réalité terrifiante vers laquelle les criminels zélateurs du TAFTA tentent d’entraîner l’Europe. J’ai souvenir d’une déclaration effectuée par Viktor Ivanter (économiste , Académie des Sciences de la Fédération de Russie -Российской Академии Наук (РАН - RAN)), disant à propos de la « fin de la crise économique mondiale » que « la lumière au bout du tunnel ?Ne vous y trompez pas, c’est le phare de la locomotive qui arrive sur nous à pleine vitesse ! »
Puisse-t-elle vous ouvrir de nouveaux horizons.
Mais puisque nous sommes en guerre contre les Etats-Unis, en guerre contre les propagateurs d’une idéologie de nécromancien comme celle que vous développez assez clairement et dont les métastases œuvrent à la ruine générale, sachez que je relève le défi et que moi aussi je suis entré en guerre contre ces destructeurs-zélateurs d’un libéralisme tout puissant complètement dévoyé.
En réalité, je vous souhaite de passer un temps par la « case misère - maladie - ruine psychologique et sociale », et puis, une fois que vous en serez sorti, je vous invite si vous êtes encore de ce monde et suffisamment valide à venir nous raconter ici vos impressions. Nous vous écouterons très attentivement.
De même que j’ai déjà eu l’occasion, et je le répète ici, de dire que je ferai jeter en prison ces auteurs et complices du TAFTA, ennemis, traîtres à la Nation et fossoyeurs de l’Europe et de la France, je reprends ici la réplique finale que J.-P.Sartre met dans la bouche de son héros Götz von Berlichingen dans sa pièce de théâtre intitulée « le Diable et le Bon Dieu » : « Il y a cette guerre à faire et je la ferai ! ». Hé bien cette guerre, sachez que non seulement je la mène, mais en outre que je compte bien la gagner. Rendez-vous au moi de Mai prochain pour le premier accrochage.