Cher Saint Just, je note que vous me traitez de « malade ».
Si au moins vous me répondiez — avec des arguments —, je passerais outre. Mais en l’occurrence, c’est une excuse toute trouvée pour ne pas me répondre — de fait, l’intégralité de votre post n’est constituée que de phrases bidons, qui ne signifient rien. C’est précisément de la langue de bois.
Vous êtes comme ces gens qui traitent les opposants ukrainiens de fachistes, vous me traitez de « malade » parce que, pour vous, je n’ai pas droit à la parole. Puis, vous me renvoyez à mes « maîtres » dont je serais l’« esclave » dans un style grandiloquent qui me laisse dubitatif sur votre propre santé mentale.
Apparemment, mon opinion n’aurait aucune valeur, vous la balayez d’un revers de la main. Et après, vous parlez de liberté...
Mais sachez qu’il ne suffit pas d’écrire ou de prononcer le mot « liberté » comme vous le faites (à chaque ligne, insistance qui est probablement la marque du mensonge) pour s’en faire le défenseur. « Liberté » n’est pas un mot magique, une espèce d’incantation qui aurait une puissance performative, comme par un coup de baguette magique (abracadabra !). La liberté est une question de choix. Par exemple, on choisit de défendre le droit d’un peuple à disposer de lui-même ou, au contraire, le droit du plus fort. Mais on ne défend pas l’un en prétendant défendre l’autre.
Ce serait là une prestidigitation un peu grossière...
C’est pourtant simple. Apprenez à lire, à écouter et à répondre, bref apprenez ce que c’est que s’exprimer, avant de parler de liberté d’expression.