Indépendamment de toute considération politique « politicienne », je pense que l’esprit qui guide F. Hollande est bien résumé dans cet article.
De candidat du parti socialiste, il est devenu président de tous les français.« Les promesses n’engageant que ceux qui les reçoivent », il est totalement dans son rôle si celles-là ne sont que partiellement tenues (voire inversées).
Garant de l’avenir, il supervise l’évolution de la dette publique (de chacun des français en fait). L’objectif, tant décrié, des 3% de déficit public a pour but de contenir la dette, les encours et la charge. Son prédécesseur n’a-t-il pas été freiné, contraint, bloqué, dans ses ardeurs au déficit public et à la dette par une crise de 2008 finalement pas si mal venue ? (une rétribution par Goldmann Sachs à posteriori ... !)
D’où l’on arrive à « mon ennemi c’est la finance », pas si mal joué quand on considère les taux d’intérêt accordé au pays malgré la catastrophe annoncée. Comme la Grèce disait-on ! La comparaison avec la situation grecque, on peut l’envisager mais avant la crise de 2008.
J’arrête là , on pourrait multiplier les thèmes ! Mais pour un homme flou, indécis, peu déterminé, louvoyant, trop porté au consensus, ... je constate une « marque de fabrique » dans ce début de mandat : la cohérence.