@HCIAtom
En lisant l’article, j’ai tout de suite pensé à cette distinction local/non-local, et je suis content que Robert Biloute ait pu vous l’expliquer clairement.
Vous dites :
Oui, effectivement, le calcul intégral/différentiel est une
décomposition des courbes en segments de droite. Il permet le calcul approché, mais jamais exact
de la longueur de la courbe, par exemple. L’erreur faite par le calcul
peut être acceptable pour un être humain, il n’en reste pas moins que la
réalité c’est une courbe, pas une succession de droites.
Si je comprends bien ce que vous dites, vous faites fausse route : les longueurs qu’on calcule par intégration sont évidemment exactes, tout simplement par les segments de droite en question sont infinitésimaux, i.e. aussi petits qu’on veut, ils n’ont pas une longueur finie.
Il faut revoir les séries de Taylor et bien comprendre tout cela.
C’est exactement comme quant on calcule la longueur sous une courbe : \int y(x)dx n’est pas approchée, mais exacte, car dx est un infinitesimal.
J’ai lu votre article de blog sur les lois de Kepler. Il y a du potentiel, mais si je peux me permettre, lisez encore sur la relativité avant de dire avoir trouvé telle ou telle erreur.
Pour information, JL Synge, dans l’introduction de son livre de relativité générale, dit clairement qu’il ne comprend pas le principe d’équivalence. Cela peut vous donner une piste de lecture (très) sérieuse.
http://en.wikipedia.org/wiki/John_Lighton_Synge