Ce n’est pas d’autisme dont je vais parler.
Actuellement, il y a un procès d’une
mère infanticide.
Une mère qui a tué ses deux enfants d’une vingtaine d’années. Elle n’en pouvait plus de les voir souffrir. Mercredi, « Devoir d’enquête » y reviendra sur son témoignage dans le détail.
Elle a voulu se suicider par la même occasion, mais c’est raté.
Là, on touche au problème profond de l’existence de ces personnes handicapées que ce soit par autisme ou par mongolisme.
La société s’intéresse-t-elle à ce genre de problème ? Non, elle enferme dans des endroits spécialisés et oublie que ces personnes ont existé. Elle se donne ainsi bonne conscience, puisque dans notre vie de « gens bien portant », ils ne seront pas de poids à assumer tout seul.
Il ne faut pas généraliser bien sûr. Les gens bien dans leur peau peuvent aussi apprendre beaucoup de choses de ces moins valides aux yeux de la société.
Bien sûr, aussi, qu’il y ait beaucoup de suicides parmi les « gens biens ».
La vie à un prix, mais elle n’assume pas toujours son poids pour atteindre le mot « Vie ».
L’humanisme devrait répondre d’une manière à cela.
La nature, d’une autre, même si le cimetière des éléphants existerait.