@ Andromède 95,
Puisque vous évoquez « les milliers de tonnes de gravats », ce qui est étonnant c’est de ne pas les retrouver sur « l’empreinte » des tours, il y en a très peu, il n’y a là à peu près que des barres métalliques plus ou moins tordues. Où sont-ils passés ?
Je ne vois pas ce que vient faire ici cette technique du « vérinage ». Seriez-vous aussi « conspirationiste », mais avec des explications délirantes ?
Pour revenir aux nuages pyroclastiques provoquées par les explosions volcaniques du type Péléen, vous mettez en avant leur température pour critiquer le choix de ce terme dans le cas de la chute des tours jumelles.
Les deux nuages pyroclastiques du 911 étaient très chauds au départ : regardez à nouveau les photos prises juste après la chute des tours et à proximité : des voitures sont en feu et leur peinture a disparu, on croirait du fait d’un énorme coup de chalumeau. Le béton est pulvérisé très fin ce qui explique la faible l’inertie thermique de ce nuage. D’autre part ce nuage n’est pas dirigé comme il peut l’être pour un volcan.
Lors d’une explosion volcanique du type péléen les puissances mises en jeu sont d’un tout autre ordre de grandeur (Montagne Pelée 1902 ou du Mont Saint Helens 1980). Dans le cas d’une éruption explosive, si la zone de faiblesse est sur les flancs, le nuage pyroclastique est dirigé et cela, avec une puissance gigantesque : elle est précédé d’une onde de choc de plus de 1000km/h, elle atteint des vitesse de 200 à 600km/h et une t° de 600°.