Cher auteur,
votre article est très éclairant, je dois bien vous l’avouer !!!
Ainsi il y a 100 millions de neurones dans notre bas ventre pour trier ce qui passe et ce qui ne passe pas. Et ce, à partir de ce que nous laisse en héritage notre mère. De la matière fécale !
Mais là n’est que l’anecdote, l’important est de voir que ce sont ces neurones là, qui décident de l’économie du corps.
S’il y a cohésion dans l’économie du corps, l’énergie qui passe dans l’organisme est sain. Par contre, si un élément de cette économie la joue solo, ou si un élément extérieur s’implante, il déstabilise tout l’organisme, même et parfois surtout le cerveau, puisque constitué de neurones également.
Mais c’est donner au neurone la puissance conceptuelle d’un être humain !
Or, si on considère certaines pathologie psychiatriques, celles ci montrent que ce sont parfois certains neurones qui sont responsables et pas les autres. Montrant bien la puissance conceptuelle, intérieure, des neurones.
Il y a explicité dans des sites internets, que les neurones « panse » ont pour but par leur travail, de libérer le cerveau de cette tâche prenante qu’est la digestion. Nous pouvons ainsi nous concentrer sur des activités intellectuelles, enfin, après avoir imposé notre domination sur les autres espèces animales. Dominer son espace est une condition fondamentale partout, que ce soit d’une part dans son ventre ou intériorité et d’autre part dans son cerveau et extériorité de son environnement relatif. Toujours en faisant référence à votre article.
Si on applique ce concept à la planète qui nous supporte, alors, l’efficacité de l’économie consiste à suivre l’équilibre et le régime alimentaire lui permettant d’être en bonne santé mentale et physique. Pas d’obésité, pas de sous nutrition ni de malnutrition.
La relation est faite entre un système économique mondial basé sur le même équilibre que l’être humain en tant qu’être sain et équilibré. Si l’économie est mondiale, alors, tous les êtres humains sont en temps alternés, et neurones « panse » et neurones cerveau. Car s’il est exact que peu de neurones contrôlent l’ensemble du cerveau, tous les neurones doivent être alimentés correctement, tout comme toutes les cellules du corps, car sinon l’organisme tout entier tombe malade. Il est donc clair que l’économie vise à satisfaire l’ensemble des cellules et neurones de l’organisme, non une partie au détriment de tous les autres. L’analogie s’arrête là, car nous n’avons pas encore atteint la lassitude pour nous laisser mourir d’inanité si on considère ceux qui se battent et ceux qui ont la tentation d’en découdre. Mais si la volonté est de vivre en paix et de faire profit de la vie, alors, il faut penser et panser en coopération et solidarité. On défend tous le même organisme dans lequel et par lequel on vit, la planète qui nous supporte encore !
C’est ce que sous entend votre éclairant article à mes yeux.