Si, si, il faut dire :
- le potentiel industriel allemand intact à plus de 75 % en 1945 (mais la population pilonnée et les voies de communication dévastées),
- l’arnaque des VW pour laquelle des CENTAINES DE MILLIERS d’allemands la payèrent d’avance dès 1938 et ne furent jamais livrés par le fabricant, cause guerre ; dans les années ’1950, une partie d’entre eux attaquèrent en justice VW et perdirent leur procès.
- la bombe d’Hiroshima (à l’uranium), « Little Boy », déclarée « bombe allemande » par Robert Oppenheimer dans une interview - les journalistes ont pensé qu’il faisait référence aux collaborateurs d’origine allemande, Oppenheimer étant lui-même issu d’une famille aisée de juifs allemands immigrés ; vous savez, la fameuse bombe à l’uranium qui n’a pas été testée avant utilisation contrairement à l’autre système au plutonium (essai Trinity puis « Fat Man » sur Nagazaki),
- l’étrange « bon en avant » du projet « Manhattan » au printemps 1945...
- à mettre en relation avec l’étude sérieuse et documentée de Rainer Karlsch, « La bombe de Hitler » (Calmann-Lévy 2007), (essais multiples en Allemagne avant avril 1945, les tonnes d’oxyde d’uranium récupérées par les Soviétiques à Berlin),
Toutes ces choses étranges occultées dans les manuels d’histoire écrits par les vainqueurs...