Commentaire de bakerstreet
sur Le pourrions-nous ?
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Alinea
Vote texte se construit comme un bateau suivant les méandres du vent et du courant, tirant des bords, pour se diriger comme il peut, sereinement, vers cet ailleurs impossible, et pourtant auquel nous continuons à croire, puisque nous vivons.
Je vois un tableau de Hooper, avec des personnages regardant au loin dans la lumière, une main en guise de visière au soleil, profitant déjà au maximum de cette ivresse dégagée par le bateau qui glisse, qui continue à aller.
Plaisir de l’eau qui s’ouvre, du bruit des vaguelettes, du cri des mouettes, du vent dans les cheveux. Dans le passé, amoureux des iles grecques, nous ne savions pas que c’était ça, avant tout, le sel de la vie.
Quand ce n’est pas la voile, c’est le cœur qui se gonfle !
Derniers commentaires
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21/05 08:54 - jako
Alinea, j’ai tout imprimé , je vais maintenant observer ce qui se passera réellement, (...)
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21/05 08:31 - alinea
Merci Jako ; moi aussi j’irai voir les liens ; on garde les normes environnementales (...)
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20/05 18:22 - alinea
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20/05 18:13 - alinea
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