Fifi brind d’acier fait semblant de ne pas savoir qu’Asselineau - ou même Dupont-Aignan - ont été trainés dans la boue, injuriés, méprisés, et grimés en facho (reductio ad hitlerum oblige) par les mêmes qui opère exactement une semblable diabolisation des dirigeants du Front depuis des décennies.
Et Fifi brind d’acier persévère tout de même à crier avec les loups. Il lui plait de reprendre au mot près - comme Pinsolle, dont il est un simple avatar - les éléments de langage et de disqualification des ennemis du Souverainisme et de la Nation, gauchistes décérébrés très souvent, alliés ô combien objectif de l’oligarchie transnationale apatride, ce qui dans les faits a été suffisamment démontré.
Fifi brins d’acier, à l’instar de son gourou au 0,4%, ne comprend rien à la politique. Ne comprend rien à l’état du rapport de force politique et idéologique réel. Ou plutôt ne veut pas le comprendre, vu les implications que cela ne manquerait pas d’induire dans son petit cerveau étriqué et naïf.
En effet, il refuse de comprendre surtout que, dans ces conditions, tout gage de bonne volonté et de soumission à la pensée unique qu’il pourrait donner, toute patte blanche qu’il pourrait montrer en abjurant ses grands dieux que lui, vrai de vrai, juré-craché, ne trempe pas dans l’antisémitisme, ne verse pas dans le « populisme » et la « xénophobie », ne suffiront en rien à le transformer aux yeux de cette engeance pour autre chose qu’un authentique nervis du fascisme le plus cristallin, dès lors qu’il soutiendrait par exemple la sortie de l’Euro, de l’Union, ou de l’Otan.
Plus encore s’il cherchait à maitriser nos frontières - ce qui au préalable revient à les réhabiliter, crime de lèse majesté pour nos gauchistes plus que jamais idiots utiles de la ploutocratie cosmopolite - et protéger notre nation et notre peuple des flux divers et variés qui contribue à ruiner notre économie, nos standards sociaux, notre modèle républicain.
Puceaux il est, puceaux il restera. En bon soumis et aliéné qu’il est tout heureux d’être.