Depositaire : « Comment des avions de ligne en percutant le WTC auraient-ils pu atteindre les piliers centraux et les endommager sur toute la structure des immeubles ? »
« Qant à l’incendie déclanché par le kérosène entrain de brûler, il ne peut pas dépasser la température du kérosène brûlé qui est de 900 degrés Celsius. Or ces poutres métalliques étaient en acier qui fond à 1200 degrés. On en était fort loin. »
Si tu crois que
l’acier ne se fragilise qu’à partir de son point de fusion

, alors il serait plus que temps que tu prennes des cours de métallurgie.
« Car malheureusement pour vous, des experts en démolition contrôlée, des ingénieurs en bâtiment, ont témoignés du fait qu’en aucun cas les incendies auraient pu faire s’écrouler des bâtiments de la taille des tours du WTC »
Bis repetita sur ces fameux experts de l’AE911trouffe, avec son président en tête de liste :
- Richard Gage fait surtout preuve d’approximation en matière de modélisation de la structure des tours avec des boîtes en cartons.
- Son disciple Anders Björkman, ingénieur suédois, n’est pas en reste avec ses boîtes à pizza (même lien que ci-dessus)
- Richard Gage prétend qu’il est impossible de créer des microsphères riches en fer autrement qu’avec de la thermite. Voici un contre-exemple de cette affirmation.
- Gregory Urich, à l’époque futur ex-membre d’AE911truth, a publié An open letter to Richard Gage and AE911Truth. Dans sa lettre, il remet en cause lesdites « caractéristiques » de la démolition contrôlée des Tours Jumelles.
- Pourquoi une pétition de « Boulangers et Pâtissiers » ou « Bouchers et Charcutiers pour la vérité sur le 11 septembre » aurait autant de poids et de valeur que l’AE911truth ? Réponse ici.
- Enfin, en qualifiant de « pyroclastiques » les poussières des effondrements des 3 tours du WTC, Richard Gage apporte surtout la preuve qu’il ne connait rien à la démolition contrôlée.
« à la vitesse de la chute libre »
« Idem et encore plus pour la tour N° 7 qu’aucun avion n’a touché. »
« De plus il existe un certain nombre de témoignages, y compris de pompiers, faisant état d’explosions en rafale entendues peu avant l’effondrement, ou/et d’une formidable explosion entendue au sous sol d’une des deux tours bien après le crash de l’avion sur la tour. »
Voir :