Agor&Acri
Ne faites pas comme les journalistes des
grands médias, intellectuellement paresseux ou/et carriéristes qui répètent
sottement, ou/et malhonnêtement, des mots qui traînent sans jamais réfléchir à
ce qu’ils expriment vraiment.
A leur décharge ils ont un peu, concernant
les « phobies », les utilisations du mot par Freud, et les acquis dans
d’autres mots de la langue française où ils ne portent pas d’ambiguïté.
Mais ça fait partie du rôle des intellectuels,
journalistes ou autres, que de préciser ou adapter - ré-adapter - les mots à leur vrai sens quand c’est nécessaire.
Mon
islamophobie, comme la
particule grecque l’indique, est simplement la crainte, la peur de l’islam, qui
a depuis longtemps montré, et prouve chaque jour un peu plus, sa dangerosité grandissante.
Mais cette peur engendre chez moi un combat
de résistance. Elle n’est nullement une peur honteuse comparable à la trouille, à la couardise de nos
gouvernants, sarkosiens puis hollandiens, qui préfèrent saboter délibérément la
laïcité républicaine plutôt que d’affronter le danger.
Leur choix de privilégier l’électoralisme - dont ils ont d’ailleurs pu se rendre compte récemment que ça ne marche plus - sur les intérêts de la nation, de la patrie, n’est pas la seule cause de leur
égarement : ils ne réfléchissent pas.
Et la fausse gauche les accompagne
maintenant dans cet égarement, au point de parfois trahir avec eux et liquider
délibérément ce que des générations de nos prédécesseurs ont acquis de
meilleur pour nous, souvent en le payant très cher.
Ces générations de prédécesseurs militants et courageux, c’était
ça, la gauche.
Je n’hésite pas à dire, dans le texte
ci-dessous, qu’il y a maintenant "du
pétainisme de gauche" chez ces irresponsables :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/pour-le-socialisme-150555
Voyez aussi :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lettre-ouverte-a-l-ambassadeur-des-82314