@Icks PEY
bonsoir.
Qui dit religion dit organisation humaine avec ses dogmes, ses rites et ses hiérarchies.
De plus, cette mise en place séculaire amène indubitablement toute une organisation avec ses biens immobiliers consacrés de plus en plus exclusivement au bien être des« tenants de la vérité » qui en deviennent très rapidement les bénéficiaires exclusifs.
Dès lors que se crée toute une société qui vit « de » et non plus « pour » la spiritualité fausse irrémédiablement toute avancée dans l’évolution de la pensée.
De plus, si votre connaissance débute à ce qu’il est commun d’appeler l’ancien testament pour les 3 grandes religions monothéistes les plus répandues,vous ne pouvez passer à côté du fait que l’étape suivante fut une évolution non négligeable avec l’avancée de la conscience du temps de l’avènement du christ puis la venue d’une nouvelle prise de conscience se référant sur lui quelques 3 siècles plus tard .
Mais vous vous souviendrez que les officiels religieux de l’époque s’opposèrent à ce qui signifiait pour eux la fin d’une ère de prospérité et une remise en cause définitive.
Anticlérical dîtes vous ?
Même si cela devait être une insulte cela ne me toucherait pas . Non, si les clercs prospèrent, c’est qu’ils se trouve des personnes qui les réclament et ma foi, cela ne me concerne pas et je ne saurais rien faire contre eux.
Vous parlez de « la charité, la miséricorde, l’amour d’autrui, le respect de chacun, l’égalité des hommes, la primauté de l’être humain sur toute autre considération, le pardon » mais sachez que ces valeurs existent depuis bien plus longtemps que vous ne le découvrez et furent promus par des personnes qui n’eurent pas nécessairement le titre très rémunérateur de religieux. Mais de bons sites sont de plus disponibles en ce qui concerne les pères de l’église qui succèdent aux premiers chrétiens et dont d’ailleurs, se sépare avec facilité le nouveau pape catho.
Donc, par définition, la religion étant le fruit des cogitations humaines , avec les meilleurs intentions qui soient, pour encadrer les hommes ne me semblent plus si nécessaires. D’autant plus que les faiblesses de ces organisations montrent leurs limites.
Donc, si les religieux ne sont pas ma tasse de thé en partie pour les raisons que je viens de vous évoquer, je ne me refuse pas plus, de les côtoyer et de me mélanger à leur compagnie que je le ferais, en tout honneur bien évidemment , avec d’autres personnes qui se nomment elles même avec bien plus d’honnêteté des filles de joie.
Avec l’inconvénient que feu mes amis curés ou autres ne désirent plus que nous discutions de dieu et des contradictions de leur croyances, alors que mes connaissances féminines pourraient désirer que nous nous étendions plus longuement sur de plus hautes valeurs de l’amour qu’elles ne vivent au quotidien.