La misère était là avant le mondial et avant l’arrivée des stars du foot.
Les joueurs ne sont en aucun cas responsable de quoi que ce soit sur la misère du Brésil, bien au contraire. L’argent déversé apportera du travail et des emplois pour quelques temps pour certaines personnes.
Ce qui est « honteux » c’est ce texte d’un ignorant qui n’a certainement jamais passé au Brésil et vient nous sortir sa science de la jalousie.
Entre maintenant et il y a 20 ans, l’amélioration avec la libéralisation de l’économie a rendu ce pays a amélioré les revenus.
Rassurons la population et méprisons ces exagérations de misérabilisme, il n’y a pas « d’affamés » dans les bidons villes....
Les zones extralégales des pays en développement sont de modestes habitations à la périphérie des villes, peuplées par des migrants venus chercher un emploi en ville.
L’économie parallèle immatérielle et principalement au Brésil permet a des gens de s’en sortir, pleins d’ateliers, de colporteurs, de services de transport, des lignes de minibus. Des petits artisans, des productions locales, des employés du bâtiment non déclarés, De nouveaux entrepreneurs capitalistes sont nés dans ces bidons villes et font de ce pays un des BRIC. Le bidon ville permet l’assesseur social.
Dans le monde en développement, les abris rudimentaires des pauvres sont améliorés, complétés et de plus en plus habités par des gens convenables, et ces bidons ville se transforment.