Commentaire de Bubble
sur Du bien et du mal à la démographie
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Vous avez raison, j’ai inventé le mot « tuer ». Vous avez écrit :
Exemple phare de la manière dont le mal submerge le bien : c’est au nom
de la compassion, de la pitié, de la solidarité, de la générosité, de la
charité, etc. – autant de sentiments réputés louables et associés au
bien – que s’exerce cette résistance à la loi naturelle, alors que pour
survivre et prospérer l’humanité doit se limiter en nombre, sauf à ce
que l’homme soit prédateur de lui-même.
C’est donc plutôt le terme « laisser mourir » que j’aurais du employer.
Vous n’avez pas parlé de naître et de non-naître dans cet article. Et de plus, comme non-naître ne suppose aucune action consistante, on ne peut pas lui attribuer un qualificatif « bien » ou « mal ». C’est bien l’action « laisser mourir » que vous essayez de justifier ici.
Derniers commentaires
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16/08 13:50 - René 03
@ Par giorgio13 L’homme est un etre superieur, c’est d’ailleurs pour cela que (...)
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16/06 11:53 - giorgio13
Il a raison, commencez à vous supprimez vous même, vous les ecolos qui n’avez de soucis (...)
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16/06 11:05 - giorgio13
Quand je vois tous vos commentaires malsains, je vois que nous bien en France. Vous les (...)
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14/06 18:42 - Claudec
« Déjà, la sémantique : l’auteur parle continuellement de l’homme, pas de (...)
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14/06 07:50 - Deneb
"L’homme, agissant envers lui-même à contre sens des lois dictées par la nature pour (...)
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14/06 07:20 - Claudec
Quand des pièges mineurs du langage brouillent la communication. Sans régulation naturelle, (...)
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