Ne m’en parlez pas ! Sur des sujets qui au fond touchent tous aux « croyances’ au sens de Ellul, plus qu’a ce que les gauches nomment le »sociétal« , chez, nous, c’est tout pareil...
En pire... ! Parce que pour l’adoption par les tous, il y avait vraiment eu les signatures nécessaires pour une saisine. Un pouvoir dont la popularité s’est traduite récemment par les résultats électoraux que l’on sait a lui aussi refuse un référendum....
Que les indépendantistes soient hostiles a un symbole d’union (pléonasme), je le supposai plus haut. Je persiste a supposer que leur désir de »riches« de ne plus payer pour les pauvres, est au fond, pour eux, plus important que les formes. J’imagine que si il restait une famille royale écossaise, les écossais seraient au fond plus favorable a garder le fric du gaz qu’a devenir républicains. La »mondialisation", pour faire court avec un mot qui ne veut pas dire grand chose, parvient au paradoxe que certains independantismes sont plus vigoureux que jamais, en un temps ou les populations concernées n’ont jamais été aussi semblables a celles dont elles veulent se séparer. Chez, nous, il y a une bouffée bretonnisante, alors que la dernière personne a ne parler que le breton a du mourir dans les années 50... ! A l’est de l’Ukraine, des gens qui sont tellement mélanges qu’ils devient impossible de les distinguer, commencent aussi a dire qu’ils se sentent tellement différents qu’il ne saurait être possible de payer pour les autres.
Pour le reste, le vent de l’histoire, le fort désir populaire...
Le seul contexte qui soit favorable aux gauches de gauches, c’est des pays ou l’État était vraiment hypertrophie, ou cela entraine une crise économique, ou les PS composes d’agents publics bien protégés essayent de sauver l’essentiel de leurs prébendes en sacrifiant les autres catégories financées par l’état. En general, les PS sont prêt a pas mal de compromissions. Chez nous, leur président vient de nommer un homme de droite a un poste symbolique et sans importance. Mais tous le monde décrypte très bien qu’il va chercher des soutiens a droite pour assécher les finances des gauches de gauche au nom d’un état économe. Essayer de mettre le couteau de la question monarchique sous la gorge du PS espagnol, dans l’espoir de récupérer son aile gauche et un calcul sans espoir. Celle ci fait deja des effets de manche pour participer au partage des restes, mais n’est pas prête a s’eloigner de la soupe.