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Commentaire de doctorix

sur La grande peur de l'eugénisme


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doctorix, complotiste doctorix 13 juin 2014 12:18

Réponse de l’auteur démontrant de nombreuses lacunes dans la connaissance, et une foi indestructible dans le progrès, même quand il n’en est pas un.

Concernant la rubéole, 95% des filles pubères sont naturellement immunisées (donc hors vaccin) contre elle, et celà de façon durable. Une sérologie à la puberté devrait écarter du vaccin toutes les filles immunisées. C’est à peu près le seul vaccin souhaitable, encore que très partiellement efficace, et uniquement dans ces conditions.
Ces maladies, ainsi que la rougeole et bien d’autres, prémunisent (au contraire du vaccin) contre diverses affections ultérieures. Rubéole et arthrite par exemple. Elles participent au renforcement de l’édifice humain, et il est nécessaire de les rencontrer : nous avons d’ailleurs tout ce qu’il faut pour les vaincre sans dommage (la fièvre par exemple, celle qu’on s’empresse de faire chuter). Le vaccin, non-immunisant à long terme (et même souvent à cout terme), ne fait que déplacer l’affection à un âge plus tardif où elle est plus dangereuse.
De plus, il est notoire que les épidémies ont une tendance naturelle à la disparition spontanée, et que les vaccins ne font que s’immiscer dans ce processus naturel en s’attribuant des lauriers immérités : il en sera de même pour le sida, dont vous ne verrez apparaître le vaccin que dans la phase terminale de l’épidémie.
Le diagnostic pré-implantatoire dans des familles à risque n’a rien d’eugéniste ; mais le risque est dans la dérive inévitable, celui de choisir, dans une étape ultérieure, son enfant avec de préférence les yeux bleus, dolicocéphale et de type aryen, par exemple : une standardisation, telle que celle que prône Monsanto pour les semences et qui est catastrophique.
Elle est d’ailleurs vouée à l’echec, comme l’ont prouvé les essais nazis, qui furent aussi ridicules que déplorablement inefficaces.
Il y a un temps pour la science, et un temps pour les apprentis-sorciers : nous sommes souvent sur ce versant dangereux, car c’est le profit et non le progrès qui est le moteur de ces recherches.

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