Il est vrai qu’« infanticide » est un peu fort, mais je ne regrette pas ce terme pour deux raisons.
1- Vous dites qu’il joue sur le registre de l’émotionnel mais n’est-ce pas ce que font Peillon et Hamon à parler sans cesse de l’intérêt des enfants alors que cette réforme se fait sans en tenir compte. Examinez les emplois du temps pondus par les communes et pensez-y.
Le mot est fort mais Peillon parle bien d’« attentat contre les enfants » évoquant le peu de jours travaillés. Cela ne vous a pas choqué apparemment ? Moi, si :
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/attentat-dans-l-education-125050
Bref, il faut savoir combattre ce genre d’individu avec ses propres armes... Et puis, si la plèbe n’a toujours pas compris, il faut bien la réveiller d’une manière ou d’une autre. Peut-être certains, dont vous n’êtes pas, utiliseront-ils leur tête ! Enfin, je suis optimiste, vous voyez...
2- Je vous ai donné l’occasion d’ouvrir un dictionnaire, puisse ce geste faire que vous deveniez un peu moins... vous-même !
Quant au reste, à part des invectives, il n’y a pas grand chose... Vous conjecturez pourquoi, pour qui j’ai écrit cette article... vous auriez mieux fait de prendre la peine d’opposer des arguments... Les enfants vont être frais le vendredi matin, c’est sûr, vous avez raison... Enfin, vous n’avez de toute évidence pas pris la peine de regarder les études que je cite...
Ah, si ! vous avez ménagé votre révellation pour la fin : « Décharger le financement de l’état vers les collectivités. Qui ne pourront que ’ demander ’ une participation aux parents, lorsque les finances des collectivités ne pourront pas financer ce transfert... »
Quelle nouvelle ! Mais qui l’ignore ? N’importe quel niais sait cela... La preuve !
Je n’en ai pas parlé car c’est évident et que je me suis borné à voir les effets pour les enfants...