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Commentaire de Jean Keim

sur Oui Natacha Polony, l'avenir est au gaullisme social


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Jean Keim Jean Keim 19 juin 2014 08:31

L’avenir n’existe pas, l’avenir c’est plus tard, l’avenir ne peut être imaginé qu’avec les données du passé et le passé n’existe plus, le gaullisme est une vision nationaliste étriquée et le problème est actuel, mondial et humain.

De Gaulle n’était préoccupé que de la GRANDEUR de la France et a oublié ou reporté à plus tard les problèmes du quotidien, il n’était pas un novateur et analysait comme un militaire sait le faire ! Pour lui il y avait une élite et ... le reste, le troupeau doit être régenté.

Il devient indispensable que l’humanité formule un nouveau mode de penser si elle veut survivre et atteindre un plan plus élevé (dixit le grand Albert), dans l’article et les commentaires il n’y a que du réchauffé. 
Pourquoi personne (ou si peu) ne voit que la façon dont sont menées les affaires du monde, depuis que celui-ci a une histoire, c’est toujours terminée en eau de boudin. Quand une idée ne marche plus, nous en recherchons une autre qui invariablement n’est que dans la manière de penser habituelle, dans un esprit (le nôtre donc) formaté par une vision réduplicative du monde, toute idée même bonne sera dénaturée, dégradée, avilie afin de s’adapter à notre mode de penser et à notre avidité. 

Une idée n’a aucune valeur en soi, elle n’a que la valeur que nous lui accordons, elle n’est qu’un influx nerveux dans un cerveau, rien que du vent ; il nous faut comprendre ce qu’est le mouvement mental, le cheminement qui d’une part crée les idées et/ou qui nous pousse à les adopter et d’autre part la difficulté que nous avons de les abandonner ou plus exactement notre propension à vouloir les pérenniser.

Une idée est puisée dans nos mémoires qui se remplissent au gré de notre chemin de vie, avec un autre chemin de vie nous aurions d’autres mémoires et ainsi d’autres idées, s’accrocher à une idée est dérisoire, irrationnel, insensé. 

Notre personnalité n’est faite que d’idées, nous sommes des êtres de déraison. Le monde est à notre image.

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