Il n’y a pas plus de « réchauffement climatique » que de beurre au cul d’un hétéro.
Il y a toujours eu des fluctuations climatiques, à toutes les échelles, pour les raisons bien réelles que les thuriféraires du GIEC prennent grand soin d’ignorer. Le GIEC a surfé sur le dos d’une de ces fluctuations banales, et profite de votre mémoire de moustique.
Il n’y a pas plus de « acidification des océans » que de beurre au cul d’un hétéro.
C’est une fraude caractérisée, elle aussi accomplie parce qu’il y a des crédits d’états généreux pour ceux qui acceptent de se laisser corrompre, et la schlague contre les incorruptibles.
Il n’y a pas plus de « 70% des arbres menacés par la sécheresse » que de beurre au cul d’un hétéro. C’est encore là aussi une fraude carbocentrique caractérisée, propagée par la presse aux ordres. Mais contre les incorruptibles, la schlague sévit toujours.
En revanche, il y a bien des problèmes miniers. Il y a bien des problèmes agricoles, et d’énormes négligences dans la conservation des sols. Ha oui, mais comme les appréhender, ce serait trop technique et scientifique pour des politiques ou pour des journalistes, on remplace tout par plus simple, et tout faux. Conformément à la corruption commandée par des politiques, puis par des oligarques moins visibles.
Le plus fort tonnage de poissons ramené par les chalutiers britanniques, c’était en 1934, au temps où l’on chalutait à la voile. Depuis, le stock halieutique n’a cessé de décliner. Techniquement, la technique du chalutage est ravageuse, une calamité pour les fonds marins. Croyez-vous qu’on se préoccupera de solutions ? Ah non, tout le pognon va au GIEC, qui vous raconte ses carabistouilles climatiques et carbocentriques... C’est cela, le règne de la corruption d’état, Intergouvernementale.