Effectivement, Prudence vous avez raison. Je me vois mal demander des comptes à une jeune fille, sans passer pour un pervers ou un désaxé.
Sans compter qu’on ne fait pas le diagnostic d’anorexie dans une rame de métro en regardant simplement une silhouette......Bien d’autres pathologies organiques peuvent engendrer la maigreur. On ne va pas agresser quelqu’un publiquement alors qu’il est en phase terminale, en vrai ducon.
Quant à l’hospitalisation, c’est bien sûr la meilleure solution, qu’elle soit forcée ou non. Surtout dans le cas de l’anorexie, ou la meilleure chose à faire, est de couper le cordon ombilical, et même de défendre les visites. De toute façon, l’anorexique est tellement dans le déni de ses troubles, et a une vison si psychotique et clivante des choses, qu’il n’y a guère d’autre recourt parfois que de prendre des décisions à sa place.
On ne demande pas la décision de savoir ce qu’on doit faire à une personne qui se noie dans la scène, même si elle vous dit que c’est sa décision, et qu’il n’y a aucun problème : Perte des dents, atrophie irrémédiable de l’intestin, et de bien d’autres organes, les dommages sont parfois mortels.
L’anorexie, qui était autrefois uniquement connue des spécialiste, et qui était cantonnée eaux quartiers chic, fait florès, de même que les troubles de l’humeur : Jamais il n’y a eut autant de troubles bipolaires que maintenant.
On peut parler souvent plus d’hystérie, et de mode de reproduction des symptômes, à partir d’un modèle qui est proposé dans la presse.