... vous faites l’âne pour avoir du foin.
Chaque prêt qui se trouve a l’actif de la banque a sa contrepartie au passif dans ce qui s’appelle les fonds de tiers.
le fait d’avoir inscrit une créance certaine à l’actif, et d’avoir inscrit au passif la même somme au compte de tiers de l’emprunteur ne crée pas un kopeck
Car à ce stade, il n’y a pas encore eu de mouvement d’argent
lors de la signature de votre reconnaissance de dette,le papier que détient la banque est un actif,inscrit à l’actif au titre des créances certaines, et elle inscrit à compte de tiers au passif, que suivant vos engagements ,elle vous doit cette somme
mais à ce stade vous n’avez pas un radis.
Quand elle vous versera la somme, elle débitera son compte financier à l’actif, de la somme, et elle créditera votre compte tiers , qui sera de fait mis à zéro, actant le fait qu’elle vous a donné l’argent
là non plus, la banque n’a pas créé de la monnaie, car son compte financier est bien débité
Dans
ces fonds de tiers, vous avez entre autre et bien évidement les dépôts
des clients, mais, vous avez aussi la ligne la plus importante qui
correspond au « prêt » que la banque centrale a accordé.
N’importe quoi, il n’y a qu’un nombre restreint de banques de références qui peut emprunter, sous des conditions du moment auprès de la BCE
Parler de prêt
est une erreur lexicale, car il s’agit d’une autorisation et non pas
d’argent réellement. C’est cette ligne comptable là, autorisée par la
banque centrale qui est la ligne de création d’argent de la banque. (*)
Vous vivez dans un monde parallèle ou quoi ?
depuis quand on inscrit dans un bilan une "autorisation ?
c’est n’importe quoi
Vous
avez une vue mécanique de la chose, c’est bien pour un comptable,
n’oubliez pas que la comptabilité traduit la réalité.
vous n’avez pas la moindre idée de ce qu’est réellement, dans le monde réel, un bilan
Cette réalité est
que la banque a crée de l’argent, certes avec l’autorisation et pour les
montants imposés par les normes, les lois et les autorités monétaires
et financières. Peu importe qu’au remboursement du prêt, l’écriture
inverse solde l’argent virtuel ainsi crée, l’important est que l’intérêt
du prêt, lui est bien réel et reste a la banque (après remboursement de
tous les frais liés, dont le coût demandé par la banque centrale, voir
le (*) PS
(*) PS... car vous allez
objecter... cette ligne n’est pas gratuite bien évidement, mais elle
peut être vue comme un « impôt » strictement proportionnel et ne change
rien a la création de monnaie effectuée par la banque. ce (ces) taux
d’emprunt ne font que diminuer la rentabilité de la création de monnaie.
alors,
si en jouant sur les mots vous voulez dire que c’est la banque centrale
qui crée la monnaie et prête cette monnaie a la banque, vous avez le
droit, mais cet argent virtuel crée à la demande de la banque, est a
l’usage exclusif de cette banque comme si elle même l’avait crée...
c’est ce qu’on appelle par raccourci : la création de monnaie par la
banque.
encore une fois, mais c’est peine perdue, je vous demande les écritures comptables que la banque inscrit dans ses livres lors d’un prêt,et l’endroit où se crée soi disant la monnaie ?
vous avez déjà une bonne base sur mes explications plus haut
@joelim
vous devriez faire la comptabilité de sarko, il demande un comptable « créatif »