Donc voilà la position du communisme sur la femme , la famille, en deux extraits :
«
Les dignitaires de l’Eglise et de la franc-maçonnerie,
les royalistes et les républicains bourgeois, les puritains et les
fascistes, les défenseurs de la « personne humaine » et les paladins de
la « civilisation atlantique », d’accord pour pressurer la main-d’œuvre
féminine et pour asservir la femme en invoquantses prétendues
déficiences naturelles, ceux-là mêmes qui la confinent
dans sa fonction dereproductrice, l’enchaînent à son ménage et
lui refusent tous les droits, plaignent hypocritement la femme
soviétique et maudissent la révolution prolétarienne, qui l’a mise, pour
la première fois, sur un pied d’égalité absolue avec l’homme ! »
.
« 21e question.
—Quelles répercussions aura le régime communiste sur la famille ?
Réponse.
—Il transformera les rapports entre les sexes en rapports purement privés, ne concernant que les personnes qui y participent, et où la société n’a pas à intervenir.
»
donc l’égalité homme femme, ce contre quoi tu t’évertue à être contre avec des idées irrationnelles sexiste.
Les rapports entre sexes purement privés donc en fait la liberté sexuelle, où la société n’a pas à dire son mot.
Donc c’est bien ce que je dis depuis le début : l’égale liberté,. Le contraire de tes opinons réactionnaires.
IL n’est pas question de différence de traitement basée sur des différences biologique, comme tu le défends, mais bien l’opposé.
IL ne s’agit pas que al société impose une norme sur la famille, que les gens se fassent imposer un conjoint etc... , mais bien le contraire, puisque c’est du domaine privé.
Le mouvement socialiste/communiste a toujours été en tête du combat pour la libération des femmes, pour leur égalité.
Ils ont donc toujours combattu tes idées sexistes, inégalitaires.
Tout le reste que tu m’alignes c’est de la manipulation pour
essayer de faire dire à Marx ou Engels, ou autre , le contraire des positions
communistes, socialistes.
Bref tu es toujours le gars qui ne comprend rien à ce dont il parle, mais qui étale son ignorance, en faisant passer la connaissance.