@ Spartacus
Bien. Dans ce cas, il n’y a qu’à supprimer l’unedic et la cotisation solidaire et aligner le privé sur le public. C’est-à-dire que lorsque vous licencierez un contractuel, l’employeur paiera le chômage de cette personne selon les barêmes en vigueur sans que ce soit la communauté entière qui supporte ce coût. Ainsi, comme vous dites, l’égalité sera respectée et vous n’aurez plus motif à chouiner.
Il vous faudra payer, cependant.
« Pertinent si le privé disposait des mêmes droits de choix d’avoir ou pas l’assurance chômage.
Le privé est sous la contrainte et la force coercitive des étatistes, et le pouvoir des corps intermédiaires communistes qui obligent à l’obligation d’abonder. »
Je vous le répète : un contractuel de l’Etat touche le chômage payé par l’Etat hors unedic, et cela selon les textes ; donc, le choix d’avoir ou non l’assurance chômage n’existe pas, celle-ci est obligatoire. Mais c’est votre rêve que de supprimer les droits et de ne plus participer à la solidarité. Et avec ça, vous faites leçons d’humanisme.
Voilà l’article que vous devez méditer :
"Article 13 - Pour l’entretien de la force publique, et
pour les dépenses d’administration, une contribution commune est
indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en
raison de leurs facultés."
Ne partez pas trop en vrille. Je suis ultralibéral à ma façon, pas du tout fonctionnaire et ne suis pas assisté par l’Etat. Je pense que le problème est le civisme ; de la même façon que celui qui fraude ou vit en ’assisté’ (je vois cela comme de la fraude morale), je trouve votre discours incivique. Vous trouvez que c’est mieux ailleurs, vous avez le droit, partez sous ces cieux meilleurs. En un mot : la France, tu l’aimes ou tu la quittes.
https://www.bakchich.info/france/2010/07/16/l-oreal-parce-que-je-collaborais-bien-58191