Pour répondre à
votre première remarque, imaginez plutôt que l’entité (âme,
esprit ou nommez la comme vous voulez) soit en phase d’apprentissage,
un peu comme dans une école ou selon ses aptitudes, elle ira en
classe supérieure, redoublera ou pire, rétrogradera en classe
inférieure selon son comportement durant cette phase qu’est la vie
terrestre. Dans ce cas, admettez le, il n’y a pas de copie à revoir.
Réponse à votre
deuxième paragraphe, vous partez du postulat de base qu’il y a un
nombre d’entité bien défini. Admettons, mais qui vous dit que le
plan terrestre est le premier plan ? Si l’on part d’un concept
alchimiste que les phases d’évolutions vont du minéral au végétal
à l’animal en passant par l’humain pour atteindre les états
d’anges, de séraphins etc. Cela peut répondre en partie à votre
problème de numérotation. Ajoutons y un autre concept qui veut que
rien de se créer, rien ne se perd mais tout se transforme avouez
qu’il y a de quoi douter quant à votre affirmation. Concernant le
Bouddhisme, vous n’êtes pas sans ignorer les deux grandes écoles,
celle du petit véhicule (Exemple bouddhiste Thaï…) où quand
l’état de bodhisattva est atteint, l’entité ne se réincarne plus
et celle du grand véhicule (Lamaïsme Tibétain) où lorsque
l’entité est devenu bouddha, elle se réincarne pour aider les
autres entités à atteindre cet état.
Le reste de vos
propos abordant le plan supérieur et le fait que vouloir analyser et
déchiffrer ce ou ces plans supérieurs avec notre compréhension
évoluant dans un univers régit par quatre dimensions et engoncé
dans notre matière est, effectivement, impensable. Seule, une entité
ayant la faculté de ce positionner hors du temps et de l’espace du
phénomène à étudier pourrait, avec prudence, entrevoir un début
de réponse.
Veuillez excuser mes explications un peu courtes et un peu simplistes dans la forme mais, comme vous le dites si bien, Tout ceci est bien plus complexe, mais il n’est pas possible dans le cadre de ce commentaire de développer plus.