« »C’est bien ce qui me semblait, un discours totalement irrationnel.
« Disons que pour arriver ou il est, il est peu probable que ce soit un saint homme. » Suppositions, probabilités. Pourquoi ne pas simplement juger l’idée, sans juger l’homme ? C’est évident que c’est un pourri, mais il est le fruit du monde dans lequel il évolue ; et il n’est pas responsable de l’état du monde dans lequel il est né.
« Je ne vois donc pas en quoi les actes de ce type devraient recevoir l’approbation. » C’est bien ce qui me semblait, quoiqu’il fasse c’est un pourri. Le type vient quand même de proposer de faire passer le temps de travail dans son pays de 48 à 33 heures, soit 1/3 de temps de travail en moins, mais c’est quand même un pourri. ça aurait été un petit responsable syndical, on aurait applaudi des 4 mains, et demandé sa canonisation de son vivant, et on l’aurait lavé de tous ses pêchés.
« si un type comme ça propose un truc pareil, c’est qu’il y trouve son compte quelque part. » J’espère bien ! Il ne va pas se tirer une balle dans le pied quand même. Qu’est ce qu’il peut bien y gagner ? Qu’est ce qu’on en a à fiche de ce qu’il y gagne ? du moment que nous on y gagne quelque chose.
« Un monde meilleur pour la petite minorité qui constitue sa caste peut être, mais rien d’autre. » Vous êtes exactement pareils, les révolutionnaires de pacotille.
étape 1 : tuer les riches.
étape 2 : se mettre à leur place, et créer un « nouveau système » (
)
étape 3 : la terreur. tuer tous les pauvres qui ne sont pas d’accord avec le « nouveau système »
Révolution : vient du latin revolvo « retour en arrière ». On appuie sur le bouton reset, et on commence une nouvelle partie, mais c’est toujours le même jeu, et le dernier niveau est toujours le même, avec son boss de fin indestructible, sauf si on réunit tout le monde : les blancs et les noirs, les riches et les pauvres ; sans ça, point de salut.