« Mais le peuple, on en
fait tous parti, non ? »
Du vrai, oui…
« D’ailleurs c’est parce que nous avons
tous des « vrais rêves et des vraies aspirations » différentes qui
fait de nous un peuple vivant. »
Il ne faut pas descendre
dans le détail. Dans chaque peuple, il y a un « type moyen » et ce
type moyen aspire à avoir le plus de temps possible pour faire ce qu’il a envie
de faire, seul, ou en compagnie des gens qu’il a envie de côtoyer, comme je l’ai déjà posté sur un fil à Bibeau.
Et si, du moment qu’il gagne
correctement sa vie, on vient l’emmerder avec des grandes théories à base de
matérialisme dialectique, de socialisme scientifique, d’émancipation de la
classe ouvrière, de propriété collective des moyens de production, s’il en a la
possibilité, il fout le camp en courant.
« (D’ailleurs c’est
quoi les faux rêves du faux peuple ?) »
Ce sont les rêves que les entonnoirs
d’extrême gauche prêtent au peuple virtuel qu’ils ont concocté dans le
prolongement des rêveries hallucinées des loufoques lumineux du XVIIIe siècle. Ceux qui croyaient maîtriser l’univers à partir d’un savoir « encyclopédique »,
qui tiendrait sur un seul de nos CD
« …vous détenez
peut-être LA vérité, mais moi j’ai les résultats des votes pour savoir ce que
pense le peuple. »
Ce qu’il pense de quoi, de
qui et à quel moment ? Si je me réfère à la dernière présidentielle, on ne
sait même pas qui a vraiment voté pour Hollande et qui n’a voté que contre
Sarközy !