Il ne suffit plus à notre hasbareux tâcheron de contribuer sciemment au processus de déshumanisation des Palestiniens en propageant les mensonges zionistes, il lui faut désormais en rajouter une couche et faire de ces supposés sub-humains non seulement des primitifs thanatophiles mais aussi des incultes dépourvus d’esprit critique…Pourquoi donc s’arrêter là ? Ne manque plus que leur dénier raison, entendement…et l’objectif sera atteint…Les crimes zionistes ne seront plus alors qu’une simple campagne de dératisation, et qui donc pourrait alors condamner ces crimes, dès lors que même les sociétés civilisées disposent de programmes de lutte contre les espèces nuisibles…A-t-on jamais eu quiconque finir devant une cour de justice pour avoir débarrassé son jardin de prolifiques taupes.

Mais voilà, cet ignoramus se prétendant observateur « objectif » ne fait ici que démontrer le niveau putréfaction ou dégénérescene intellectuelle qu’il a atteint, démonstration dont il est visiblement particulièrement fier…Il lui aurait été pourtant facile d’aller vérifier quelle était la situation en matière d’éducation et donc l’aptitude à la « réflexion critique » chez les Palestiniens : les statistiques abondent, autant que les études consacrées à ce qui en matière éducative peut-être définie comme la singularité palestinienne.

Singularité palestinienne faisant qu’en dépit de situation depuis des décennies, ce peuple compte parmi les plus éduqués au monde, ayant un des plus haut taux d’alphabétisation – et le plus haut taux pour le monde arabe - ( app. 100% pour les 15-24 ans, et supérieur à 96% pour les + de 24 ans) et le plus éduqué parmi les pays « arabes », quand bien même il est le plus pauvre de ces pays (excepté si Djibouti est considéré comme pays arabe) : arrivant même premier devant le pays arabe considéré comme le plus développé en la matière : le Qatar. Singularité faisant aussi de la société palestinienne, la moins conservative en matière d’éducation hommes vs femmes : les femmes formant la majorité des étudiants, le ratio filles/garçons primaire + secondaire étant de 106 (pour la France, le ratio = 100).

Quiconque aura visité la région (Mashrek et Golfe) à titre professionnel ou d’affaires, aura constaté qu’il est souvent difficile de ne pas tomber sur un Palestinien (ingénieur, chercheur, technicien, médecin, architecte, homme d’affaires, etc…), ceci s’appliquant aussi à la diaspora palestinienne en Occident (notamment domaine anglo-saxon) où il est assez rare de rencontrer un livreur de pizza palestinien (à moins que ce dernier travaille pour payer ses études).

Nous conclurons en suggérant simplement que dans l’éventualité où notre tâcheron rencontrerait un Palestinien, il existe une forte probabilité que le niveau d’études (visiblement corrélé à son aptitude à la réflexion critique) dépasse celui de cet ignoramus, dont la persistance et persévérance dans l’infâmie a quelque chose d’étrangement spinozien autant que de grotesque…