* Les hommes sont-ils « libres et égaux en droits »… la loi est-elle « la même pour tous »…
>>> En France ? : clairement non, dès lors qu’il existe des « statuts », associés à des ramifications d’une loi à géométrie variable, qui font que les procès aux prud’hommes en arrivent à laisser constater des confusions jusque dans la bouche de magistrats en exercice de leur fonction ...
* tous les hommes sont-ils toujours « présumés innocents jusqu’à ce qu’ils aient été déclarés coupables ?… »
>>> au-delà d’une approche seulement procédurière, ne s’en référant qu’à la Justice d’un « système » que tout bon Français passe son temps à conspuer, il serait bon de se souvenir
- que, moralement, seuls des actes peuvent être jugés.
- que la qualité du verdict est directement liée à l’honnêteté du jugement : de ses arguments et des capacités de défense assurés à ceux que l’on juge.
Nos canards ou nos cancans n’auraient-ils pas un peu trop tendance à participer surtout d’un travail de diffamation visant là encore des personnes (rarement averties de l’attaque) plutôt que de tendre à redresser des torts ?
Défendre une « cause du peuple » implique avant tout la très délicate et primordiale question de la légitimation :
qui est fondé, (et comment ?) de dire ce qu’est la cause du peuple ?
- des délégués (élus par une technique de scrutin bien particulière) ?
- des représentants estampillés à vie par un titre ? (Fût-il obtenu selon un a priori de collégialité ... )
- des canards ?
- des cancans ?