Bonjour,
Excusez moi de ne pas comprendre pourquoi vous ne comprenez pas !!!
Je suis contre le nationalisme, mais pas contre les langues régionales. Je suis contre les frontières militaires et pour les frontières culturelles. Je suis pour la coopération économiques et contre la concurrence sociale. Je suis pour la démocratie et contre la dictature d’une élite ploutocratique.
Je fini mon commentaire ainsi
L’espéranto est une très belle idée, mais force est de reconnaître
qu’elle n’a pas encore réussit à forcer le blocus fait autour des masses
populaires. Reste deux questions. Peut elle s’imposer ? et dans combien
de temps ?
Autrement dit, si je soutiens l’idée d’une langue universelle qui ne soit pas celle d’une culture en particulier et qui soit facile à apprendre pour la quasi totalité des êtres humains, je n’oublie pas qu’elle reste encore trop marginale et surtout marginalisé.
Donc, je pose la question à l’auteur de savoir si l’espéranto peut s’inscrire dans la lutte contre ces oligarchies kleptocrates qui s’unissent ou tentent de s’unir en forçant les politiques des états. Peut être pas dans la lutte immédiate, mais le fait qu’elle existe, quelle soit là en attente d’être répandu avec une base solide pour l’enseigner est le plus important. Car ces utopistes (auquel je m’associe), qui défendent cette langue sans culture spécifique à un peuple, peut effectivement devenir spécifique de tous les peuples de la planète.
Et ne pas voir l’importance d’une langue planétaire s’est faire preuve d’une grande immaturité politique. Obliger à en faire la démonstration relève de faiblesse d’analyse géopolitique, de crétinisme ou bien de la mauvaise foi.