@marauder,
Dont acte, et désolé, mais votre phrase que j’ai lue et analysée
ressemblait tellement aux conneries déblatérées à l’envi par les adversaires de
l’espéranto que je me suis cru obligé d’y répondre.
Cela ne sert rarement pour l’auteur des faits (sauf vous) mais pour les
autres lecteurs.
Une connerie dite par un ignorant, qui s’ignore, reste une connerie.
Du reste, certains s’en sont donné à cour joie pour vous moinsser comme
envers moi.
Les pauvres, ils n’ont que ça comme argument.
Vous dites :
»J’aurais aimé pouvoir apprendre ET utiliser
l’esperanto, surtout dans les mouvements et assos que j’ai cotoyé... Mais
je n’ai jamais rencontré personne le parler a part un formateur afpa que j’ai
connu. Alors comment parler d’un truc universel et acquis ? L’esperanto,
c’est comme la liberté, c’est jamais acquis, il faut sans cesse combattre pour
...«
Tout ceci est exact, à ceci près que vous
n’avez pas eu de chance jusqu’ici pour n’avoir rencontré qu’une seule personne
parlant la langue.
Pour l’apprendre, il ya maintenant Internet.
C’est pas mal du tout.
J’ai rencontré cet été à Rijeka en Croatie lors
d’une congrès un Autrichien de 12 ans, qui a six mois d’apprentissage sur
Internet, et il parle l’espéranto comme en allemand.
vous dites aussi :
»Je pourrais ajouter aussi que j’en
avais marre de passer pour un con quand je parle en bien de l’esperanto, il
semblerait que quand j’en parle de manière plus critique, je passe pour un con
aussi ;)«
Laissez les dire, et souvenez-vous du mot de
Voltaire à propos de la bêtise humaine : « C’est la seule notion qui permet de se faire une idée assez précise de
ce qu’est l’infini« .
De nos jours, on dit la connerie
humaine, mais c’est pareil.
Sachez aussi qu’un autre jeune, de
seize ans, celui-ci a lancé une pétition internationale sur Avaaz. Cette
pétition fait maintenant ^partie d’un projet plus vaste nommé « TUJ ».
Enfin, n’oubliez pas Europe
Démocratie Espéranto (EDE) qui s’est présenté pour la troisième fois aux
européennes cette année.
Allez, sans rancune j’espère, et
bonan kuraĝon
por la lernado de Esperanto.
Cordialement/kore.
Thierry Saladin