Sur le droit pour chaque personne de bénéficier d’une
aide médicamenteuse pour mourir d’une mort douce.
+ Le
principe :
La
volonté du demandeur doit être respectée.
L’État doit seulement s’assurer que la décision
de mettre fin à ses jours est bien libre éclairée, réfléchie et réitérée.
Article 1° Peut exercer cette
demande :
- 1° Une personne victime d’une affection grave,
incurable et/ou invalidante entrainant une souffrance physique ou psychique constante et
inapaisable ou qu’elle juge insupportable ;
- 2°Une personne dont l’état de santé la place dans un état de dépendance
qu’elle estime, -pour elle et selon ses propres critères d’appréciation –
incompatible avec sa dignité,
- 3°Une personne qui estime que , pour elle et selon ses
propres critères d’appréciation la vie qui lui est offerte ne
mérite plus d’être vécue.
- 4° Une personne, qui n’est plus capable d’exprimer sa
volonté mais dont le testament de vie indique des conditions dont on constate qu’elles sont réalisées.
Exemple : Si je ne reconnais plus ma femme ou mes enfants je veux exercer
mon droit à bénéficier
d’une aide médicamenteuse pour mourir d’une mort douce.
-Le demandeur peut à tout moment révoquer sa demande.
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Si le
référendum d’initiative citoyenne, souhaité par 82 à 88 % des Français, était
instauré cette question pourrait être soumise aux 45 millions d’électeurs qui
pourraient CHOISIR les conditions de la loi..
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L’association www.article3. a pour unique revendication ce référendum d’initiative citoyenne
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