https://www.google.ch/search?q=r%C3%A9partition+consommation+%C3%A9lectrique+en+france&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=q9T2U8GPHsOdO-G3geAG&ved=0CBsQsAQ&biw=1024&bih=607#facrc=_&imgdii=v8MHcy2LCTGdCM%3A%3BjDA5PF8IxictIM%3Bv8MHcy2LCTGdCM%3A&imgrc=v8MHcy2LCTGdCM%253A%3BLU8dXfMljy1NGM%3Bhttp%253A%252F%252Fwww.observatoire-electricite.fr%252Flocal%252Fcache-vignettes%252FL448xH293%252Fgraphe1_repartition_conso_finale_par_energie-99a86.png%3Bhttp%253A%252F%252Fwww.observatoire-electricite.fr%252FLa-consommation-d-energie-en%3B448%3B293
Donc actuellement en France :
Energies stables :
Hydraulique : 9,3% (renouvelable)
Thermique (gaz) : 9,5%
Nucléaire : 77,7%
Total : 96,5%
Energies renouvelables instables :
Solaire : 0,3%
Eolienne : 2,2%
Total : 2,5%
Pour être réaliste il faut donc comparer l’état actuel de l’éolien et du solaire avec le nucléaire. Si l’on fait le calcul on s’imagine donc qu’il faudrait : 77,7 / 2,5 = 31 fois l’état actuel de l’éolien et du solaire mais avec en plus des installations de pompage-turbinage
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_centrales_de_pompage-turbinage
(montré par Lila http://www.agoravox.tv/actualites/environnement/article/el-hierro-une-ile-modele-100-d-46406)
J’y croyais jusqu’au moment ou j’ai constaté que la grande majorité des subventions allaient dans le privé, aux riches comme aux moins riches, que de nouveaux lobbies apparaissaient entraînant des gaspillages hallucinant, comme les 10 millions de CHF engloutis par les Services Industriels de Genève en ...frais d’étude de mesure des vents avec rien à la clef, que les associations de protection de l’environnement tout en se déclarant anti-nucléaire, bloquaient les nouveaux projets hydrauliques.