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Commentaire de asterix

sur Courrier non intime à notre Président


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asterix asterix 5 septembre 2014 15:33

Bonjour Alinéa

S’il y a bien une chose dont, nous qui écrivons, devons nous méfier, c’est de nous-mêmes.
D’abord parce qu’un dérapage ou une toute petite phrase mal conçue ou mal interprêtée nous reviendra sur la tête comme un boomerang.
Nous devons également être conscients du pouvoir que nous nous donnons. Une conversation est un échange de points de vue. Un écrit est le développement d’un seul, en quelque sorte un acte d’autorité et certains d’entre nous vivent mal sa contestation, cela se vérifie aujourd’hui encore avec un certain C... tellement habitué à ne ramasser que des bravos à la pelle qu’il est complètement démuni lorsque près de 80% d’entre nous lui avons répondu : ça va pas la tête ?
Heureusement qu’Agoravox a institué la possibilité de commentaires, cela nous permet de garder les pieds sur terre.
Pour revenir à l’écrivaine du jour, il est triste de constater a posteriori que celui qui était son amant n’a pas vu le danger venir. D’un citoyen X, ce n’eut pas été grave. Mais d’un Président de la République, cela pose la question de la valeur de son jugement.
Valeur zéro. Le privé rejoint le public et vice-versa.
Cela me fait penser en un peu moins torve à la c... devenue maîtresse de DSK uniquement en vue d’avoir assez de matière croustillante pour écrire un livre sur lui.
DSK - Hollande même combat ?
En quelque sorte oui...

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