« La question préalable à poser à tout candidat, aujourd’hui, est donc en deux (2) volets :
a) dans quelle proportion allez-vous redistribuer la richesse ....
b) comment procéderez-vous pour y parvenir ? »
Et donc, vous ne voulez pas « redistribuer la richesse », c’est à dire verser 1100 à celui qui en à produit 1000 ?
« Le travail produit une valeur ajoutés et cette valeur aloutée, en toute justiice, devrait etre remise a ceux qui ont contribue a la créer »
Oui, ça s’appelle le salaire (ou autre, suivant la méthode de vente du travail), elle est donc déjà remise à ceux qui ont contribué à la créer.
« Celle que je souléve ici,c’est que les agios et interets qu’on a prelevés depuis des decennies sur ce qui aurait du etre la part des travailleurs ne leur a jamais laissé qu’un revenu insuffisant pour acqueir le fruit de leur travail »
Quel rapport entre les intérêts qui ont rémunéré un service rendu et les revenus du travail ? Si vous ne voulez pas payer d’intérêts, n’empruntez pas, mais n’essayez pas d’établir des relations entre des choses qui n’ont rien à voir.
Et pour désamorcer tout de suite vos 2 prochains arguments :
1) non, un particulier n’est pas « obligé » d’emprunter pour boucler les fins de mois. S’il le fait, il en assume les conséquences. S’il ne le fait pas, il adapte ses dépenses à ses revenus. S’il n’y arrive pas, c’est son problème, pas celui de ceux qui font l’effort de le faire.
2) oui, la dette de l’état est légitime (on a élu ceux qui l’ont contractée, on est donc solidairement responsable), et doit être remboursée, ou il faudra en assumer les conséquences (voyez les conséquences pour tous les pays qui ont été obligés de faire défaut sur leurs dettes, ça vous donnera une idée de qui en subira réellement les conséquences en France).