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Commentaire de Baasiste 2

sur Byzance ! Une prime de quarante euros pour les Sans-dents !


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Baasiste 2 17 septembre 2014 15:01

marx aussi décrit la division du prolétariat engendré par l’immigration et le racisme, dans le même camp.

le pcf vs mai 68 comme la cgt : http://3.bp.blogspot.com/-MievOTVou...

le pcf pour la famille http://www.causeur.fr/famille-maria...

le pcf vs l’homosexualité (tapez « homosexualité duclos » sur google)

le pcf vs la drogue http://www.dailymotion.com/video/xs...

le pcf pour l’immigration 0http://www.youtube.com/watch?v=uo_w...


marx conservateur : 

« Karl Marx et Friedrich Engels, in le Manifeste du Parti Communiste a écrit :Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur « paiement comptant ».

Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. Elle a dissous la dignité personnelle dans la valeur d’échange et substitué aux innombrables libertés reconnues par lettres patentes et chèrement acquises la seule liberté sans scrupule du commerce. En un mot, elle a substitué à l’exploitation que voilaient les illusions religieuses et politiques l’exploitation ouverte, cynique, directe et toute crue.

La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages. »


le communisme pro-famille, marx et engels décrivent bien la démolition de la famille par le capital : http://ciml.250x.com/cwish/french/l...

http://www.causeur.fr/mariage-gay-m...

marx pour la libération capitaliste de la femme lol xd mdr ptdr et du sexisme : « Au XVIIIe
siècle, l’idée de famille s’est dissoute
sous les coups des philosophes, parce que la famille réelle, an degré supérieur de la civilisation,
commençait déjà à se dissoudre. Ce qui se dissolvait, c’étaient le lien intérieur de la famille, les divers
éléments qui forment la notion de la famille : l’obéissance, la piété, la fidélité conjugale, etc.  ; mais le
corps réel de la famille, les conditions de fortune, l’attitude exclusive à l’égard des autres familles, la
cohabitation forcée, les conditions créées par l’existence des enfants, la construction des villes
modernes, la formation du capital, etc., demeurèrent, bien que souvent troublées, parce que l’existence
de la famille est rendue nécessaire par sa connexion avec le mode de production, indépendamment de
la volonté de la société bourgeoise. Cette nécessité se manifeste de la façon la plus frappante dans la
Révolution française où la famille, un instant, fut pour ainsi dire abolie par la loi. La famille continue à
exister cependant au XIXe
siècle, mais avec cette différence que sa décomposition est devenue plus
générale, non à cause de l’idéologie, mais par suite du développement de l’industrie et de la
concurrence  ; elle continue à exister, bien que sa décomposition ait été proclamée depuis longtemps
par les socialistes français et anglais et que les romans français aient même fini par porter ce fait à la
connaissance des docteurs de l’église allemande. »
Marx : l’Idéologie allemande. Œuvres, t. V, p. 162-163. (Edit. all.)

« Les déclamations bourgeoises sur la famille et l’éducation, sur les doux liens qui unissent l’enfant à ses
parents, deviennent de plus en plus écœurantes, à mesure que la grande industrie détruit tous les liens
de famille pour les prolétaires et transforme les enfants en simples articles de commerce, en simples
instruments de travail. »
« Il ne se doute pas qu’il s’agit précisément d’arracher la femme à son rôle actuel de simple instrument de
production,
Rien de plus ridicule, du reste, que cette épouvante ultra-morale de nos bourgeois devant la prétendue
communauté officielle des femmes chez les communistes. Les communistes n’ont pas besoin
d’introduire la communauté des femmes, elle a presque toujours existé.
Nos bourgeois, non contents d’avoir à leur disposition les femmes et les filles de leurs prolétaires, sans
même parler de la prostitution officielle, trouvent un plaisir singulier à se cocufier mutuellement.
 »Marx et Engels : Manifeste du Parti communiste, Œuvres, t. VI, p. 541-543. (Edit. all.)
Edit. Sociales, p. 24-25, 1947.
marx a critiqué en gras le travail des femmes dans la dernière citation.

« Là où elle est arrivée au pouvoir, la bourgeoisie a détruit tous les rapports féodaux, patriarcaux, idylliques. Elle a impitoyablement déchiré la variété bariolée des liens féodaux qui unissaient l’homme à ses supérieurs naturels et n’a laissé subsister d’autre lien entre l’homme et l’homme que l’intérêt tout nu, le dur « paiement comptant ».


Elle a noyé dans les eaux glacées du calcul égoïste les frissons sacrés de l’exaltation religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la mélancolie sentimentale des petits-bourgeois. Elle a dissous la dignité personnelle dans la valeur d’échange et substitué aux innombrables libertés reconnues par lettres patentes et chèrement acquises la seule liberté sans scrupule du commerce. En un mot, elle a substitué à l’exploitation que voilaient les illusions religieuses et politiques l’exploitation ouverte, cynique, directe et toute crue.

La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités tenues jusqu’ici pour vénérables et considérées avec une piété mêlée de crainte. Elle a transformé le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, l’homme de science, en salariés à ses gages. »

manifeste du parti communiste

« Marx et Engels ont dénoncé la contrainte économique que le capitalisme fait peser sur les relations entre l’homme et la femme, et aussi la révolte anarchisante contre le mariage bourgeois. Cette révolte prend la forme d’une condamnation de la monogamie, d’un « communisme grossier » prônant la communauté des femmes, d’une licence généralisée qui, au nom de l’amour libre, aboutit à une « 
prostitution universelle ». La véritable liberté de l’amour, la liberté du mariage, le bien-être de la famille sont conditionnés par la fin du régime capitaliste. Car la société bourgeoise, qui s’oppose à l’amour, est aussi l’ennemie des foyers (exploitation des femmes, taudis et manque de logements, absence d’aide, faible taux des allocations, misère, chômage, etc.).
La pleine liberté de conclure mariage ne pourra donc être réalisée de façon générale que lorsque lasuppression de la production capitaliste et des conditions de propriété créées par elle aura écarté toutes les
considérations économiques accessoires qui, aujourd’hui encore, exercent une si puissante influence sur le choix des époux. Alors il ne restera plus de motif autre que l’inclination réciproque. (Engels : l’Origine de
la famille, de la propriété privée et de l’Etat.) La révolution prolétarienne, qui supprime l’exploitation et les inégalités sociales, abolit l’antagonisme
des sexes et l’assujettissement de la femme. Une chaîne millénaire se rompt : en se rompant, elle libère et rend à la dignité la moitié du genre humain. Dans sa maternité honorée et protégée, dans ses enfants assurés de leur avenir, dans le travail auquel dorénavant elle aura accès sur un pied d’égalité absolue
avec l’homme, la femme puisera un sentiment »
« Lénine, comme Marx, condamne la licence sexuelle et « l’amour libre » : une première fois, au début de 1915, en pleine guerre impérialiste, dans deux lettres à Inès Armand ; une seconde fois en 1920, au
cours d’un entretien avec Clara Zetkin. »

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