"Nadine Morano, connue pour la délicatesse de ses déclarations : « Médiapart
me fait gerber. Je ne veux pas donner une information qui puisse
ramener de l’argent à ce journal de vomi et à ce Plenel dégueulasse »«
Re-post, mais c’est à propos pense-je. Et même si les autres valent guère mieux :
»Nadine Morano EST vulgaire. Elle est même une caricature grossière de la
vulgarité. Elle en est la personnification, le symbole. Nadine Morano
est un hymne à la vulgarité. Elle est un hommage à la vulgarité. Elle a
en elle la substantifique moelle de la vulgarité, elle en est l’essence.
Nadine Morano est la garante universelle de la vulgarité, elle en est
l’incontournable étalon, la référence absolue. La muse de la vulgarité
se dit Morano en protogrec.
Si vous cherchez un synonyme à vulgarité
préférez « moranoen » à « grossier », car la grossièreté n’implique pas
nécessairement la vulgarité et inversement on peut être vulgaire sans
employer de termes grossiers, de plus le sens de la phrase sera sans
équivoque.
Il a longtemps était question de créer un ministère pour
Nadine, et d’ailleurs on hésitait entre ministère de la vulgarité et
ministère de l’inculture.
« Morano vulgare est » , le premier pléonasme
connu en latin ancien. Le hièroglyphe égyptien signifiant vulgaire
ressemble étrangement à notre Nadine nationale et se prononce
vraissemblablement « môRhâNo ». Les auteurs de la guerre du feu ont
utilisé d’ailleurs ce phonème quand l’un des personnages essaie
d’exprimer le côté vulgaire du comportement d’un tiers protagoniste (la
scéne a été coupée au montage, jugée trop moranoène et choquante)."
J’ajouterais
que Morano est à la vulgarité ce que Chuck Norris est à
l’invincibilité : une icone, un mythe, un grâal. Un idéal inatteignable.
Et au passage merci à l’auteur de cet exposé synthétique.