Bonjour,
Francesca.
Le problème
que vous avez (de même que Sabine) vient du fait que vous intervenez en
supportrice inconditionnelle, en l’occurrence de Zemmour. Une disposition d’esprit
qui vous conduit, lorsqu’on vous oppose des arguments ou lorsque, comme moi, on
souligne le côté « populiste »
de ce journaliste (définition à l’appui), à dénigrer l’interlocuteur, à tenter
de le discréditer. Un procédé vieux comme le monde, mais dont la ficelle
commence à être très usée.
Pour ce qui
est de « m’y mettre »,
c’est exactement ce que je fais à chaque fois que l’occasion m’est donnée
d’approfondir un sujet que je connais mal. J’aime beaucoup enrichir mes
connaissances de cette manière, notamment dans des champs assez éloignés de mes
pôles d’intérêt habituels. Derniers exemples en date, mes deux articles
consacrés, l’un aux émigrées du 17e siècle vers le Québec (Ces
filles du Roi qui ont peuplé le Québec), l’autre au destin croisé de
Marconi et d’un célèbre criminel londonien (Les
passagers de la foudre).