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Commentaire de Spartacus

sur Une solution monétaire existe pour résorber la crise de la croissance et de la dette


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Spartacus Lequidam Spartacus 17 octobre 2014 10:31
Distribuer de l’argent (monnaie de singe) aux pauvres n’a jamais résolu la pauvreté. Cela fait élire, car c’est visible un temps, mais destructeur sur le temps. 

Au mieux ces politiques rendent ponctuellement les pauvres moins pauvres, mais invisiblement décourage leur libre arbitre et leur prise d’autonomie. 
La distribution gratos finie, ou intégrée comme pérenne devient un du, elle entraîne une demande incessante d’interventionnisme et de socialisme de l’assistance. 

On appelle cela « la route de la servitude » (voir l’étude du Nobel Hayek).

La création monétaire détruit la monnaie et la transforme en monnaie de singe la valeur de la monnaie.

Le seul moyen de sortir de la pauvreté est la concurrence et sa main invisible. 
Elle seule donne du pouvoir d’achat qui n’est pas contraint. 
Elle seule dirige l’économie vers les secteurs porteurs d’emplois et de la demande réelle sans l’influence des groupes de pression et est 1000 fois plus efficace que n’importe quel interventionnisme étatique.
La concurrence libre et non faussé par l’interventionnisme est neutre. Elle aide également et équitablement tous les individus.

La famine a disparue sur terre le jour ou le communisme interventionniste, a disparu.
La pauvreté disparaîtra le jour ou le socialisme et le capitalisme de connivence étatiste disparaîtra.

Le capitalisme et sa fille la concurrence a besoin de gens solvables pour fonctionner et être rentable. Le capitalisme rend les gens autonomes, moins pauvres, et d’autres encore plus riches. 

Si Karl Marx n’avait pas existé, avec sa logique basé uniquement sur la jalousie et la détestation de la société libre, et du déni des talents et son égalitarisme, le 20 eme siècle aurait été meilleur.

Le communisme n’a engendré que des pays ou la pauvreté a été planifié.
Le socialisme n’engendre que le capitalisme de connivence, l’iniquité entre les individus et la pauvreté, des rentiers de l’état, de l’assistanat, et la dictature des groupes de pression les plus proches de l’état sur les individus.

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