« C’est le laxisme et le marasme économique. Solutionnez ces deux problèmes et vous n’entendrez plus parler du reste. »
C’est le serpent qui se mord la queue : vous ne solutionnerez certainement pas le « marasme économique » sans remettre en en cause le processus migratoire actuel, ni non plus sans appliquer tout ou partie des préconisations que j’ai données en introduction de mon propos, et qui vont de pair.
Tant il est vrai que le processus migratoire actuel, et ses conséquences, fanatiquement promu par l’ensemble de l’intelligentsia politico-économico-médiatique euro-mondialiste, soit la ploutocratie internationale et ses obligés (ce qui déjà devrait mettre la puce à l’oreille de nos faux progressistes, mais cela supposerait qu’il ne soit pas complétement cons...), est en réalité un des vecteurs fondamentaux qui participe de l’entreprise de mondialisation économique sous l’hospice de la théorie néolibérale.
Ainsi les naïfs et les ignares (et ils sont légion), ou les sans couilles, qui promettent des lendemains qui chantent en prétendant s’attaquer à la ladite mondialisation et ses effets mortifères concrets, SANS dans le même temps chercher à remettre en cause les flux migratoires, sont des tartuffes de premier ordre.
D’autre part, et que vous passez par pertes et profits, la première aspiration des peuples est, plus encore que la sécurité ou même l’économie : la sauvegarde de leur intégrité en tant que tel, de leurs particularismes, de leur culture, langue, civilisation, qui sans ceux-là, où s’il advenait qu’ils disparaissaient par mégarde, traduirait la disparition pure et simple de ces dits peuples en tant qu’entités collectives historiquement constituées.
Qui peut croire que la France serait encore la France si, pour paraphraser de Gaulle, son peuple n’était pas constitué à l’orée de ce siècle, majoritairement - très majoritairement - d’individus de « race blanche, de religion chrétienne, et de culture gréco-latine » ?
Moi je n’y crois pas. Et je ne donnerai pas le bénéfice du doute vis à vis de quelconques apprentis sorciers. Car là est un voyage sans possibilité de retour.
Ce qui me fait dire que, face à l’immigration, vous négligez comme tant d’autre 1/ le facteur nombre 2/ le facteur culturel.
L’un et l’autre sont sans commune mesure avec ce qui s’est pratiqué ses deux derniers millénaires pour un pays et territoire comme la France.
Mon humble avis, d’ors et déjà étayé, est que nous courrons à la confrontation armée dans les années ou décénnies qui viennent avec nos populations immigrées non-assimilées, sans doute étendue même au continent européen. Non que je le souhaite, comprenez-le bien, mais parce qu’il ne faut pas dénier les tendances actuelles, dont il est fort probable qu’elles soient devenues irréversibles pour toutes les raisons précitées.