Commentaire de Alois Frankenberger
sur Barcelone : quand le tourisme devient un fléau
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En tout cas, aux Canaries je n’ai rien remarqué d’hors norme à part les affiches pour les fêtes de cannabis et le comportement des touristes anglais qui étaient scotchés à la piscine jusqu’à ce que les hauts parleurs de l’hôtel braillent le happy hour ( heure pendant laquelle les consos sont à moitié prix ).
Derniers commentaires
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26/10 22:55 - Fergus
Bonsoir, Njama. Le fait est que la manière pour le moins explicite de présenter, de nos jours, (...)
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26/10 20:27 - njama
pourquoi les ritals se cachent le zizi à Barcelone sur la photo ? faut qu’ils viennent à (...)
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26/10 12:45 - Fergus
Bonjour, Ettore. « Le vomi n’a pas de patrie. » Hélas ! Fort heureusement, tous les (...)
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26/10 11:15 - ETTORE
Triste incurie que le « tourisme » actuel ! partir ailleurs pour se saouler la gueule (...)
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25/10 16:31 - Fergus
Bonjour, Manu. Eh oui, les passions prennent de plus en plus le pas sur la raison, et cela (...)
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25/10 11:37 - Emmanuel Aguéra
cHélas, Fergus, en effet cet humour sent la mort, et l’apaisement des esprits dont je (...)
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