Bof, des cas individuels…Du passé...Pendant la guerre, il y a une catégorie qui est a peu prêt assurée du lendemain, qui conserve son emploi, qui est au première loge pour toutes les autorisations, les tickets les ausweis, les relations directes et donc privilégiées avec l’occupant, parce que celui-ci a besoins d’eux.
Ceux là même qui bouclaient leurs fins de moins en apposant des tampons, « Juifs », « étrangers à surveiller », sur les papiers d’enfants, qui faisaient chanter « Maréchal » dans leurs classes sans trop d’état d’âme. Ceux à qui on ne discutait guère, ni les postes, ni les moyens, face aux « nécessités de l’heure) ( + 26% d’embauche !).
Un peu les grand parents de ceux qui votent la baisse des allocs pour les autres, »pour faire face à la crise dans la justice", mais qui ne sont pas chaud du tout pour baisser les sur salaires, croisant avec les revenus, pour leurs catégories sociales. Je crois qu’il faut être un peu marxiste, sortir de la peopolisation, ( La place de Gallimard dans la seconde guère mondiale, je vous demande un peu ! Paix à son âme !), et revenir aux grandes catégories sociales… Surtout qu’en terme de fric, 5 millions multipliés par un petit privilège, cela fait rapidement pas mal plus, notamment en cout pour le contribuable, qu’un gros bénéfice multiplié par un éditeur.
C’est à se demander si cette focalisation sur des people, n’est pas surtout un moyen de ne pas se demander comment le régime de Vichy aurait pu agir en quoi que ce soit, sans la remarquable discipline de la fonction publique française. Vue les conséquences, un champ d’étude à priori plus fructueux que de se demander si dans le secret de son fort intérieur, Gallimard préférait Paulhan, Drieux ou la littérature ? Non ?