Commentaire de 65beve
sur L'avis d'une morte sur la vie d'une morte
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
Suite et fin.
Lorsque la bûche siffle et chante, si le soir,
Calme, dans le fauteuil je la voyais s’asseoir,
Si, par une nuit bleue et froide de décembre,
Je la trouvais tapie en un coin de ma chambre,
Grave, et venant du fond de son lit éternel
Couver l’enfant grandi de son oeil maternel,
Que pourrais-je répondre à cette âme pieuse,
Voyant tomber des pleurs de sa paupière creuse ?
Derniers commentaires
-
03/11 22:05 - Papybom
Bonsoir La râleuse, Désolé, mais je rentre de balade. Mais le baladin n’est pas (...)
-
02/11 21:52 - 65beve
Bonsoir la râleuse, après avoir lu et relu ce poème, vous pouvez l’écouter raconté par JL (...)
-
02/11 17:52 - Fergus
Bonjour, La râleuse. Je découvre votre commentaire aujourd’hui et j’en suis tout (...)
-
02/11 12:43 - bakerstreet
Quant au métier de soignant, croyez bien que s’il vous met en première ligne, il ne vous (...)
-
02/11 12:36 - bakerstreet
Jean Nos études nous apprennent classiquement qu’il y a face à la mort différentes (...)
-
01/11 23:17 - Jean Keim
J’ai eu l’occasion d’écouter du personnel médical parler de la mort de leurs (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération