@ Jocelyne : Je ne crois pas. La pauvreté, je connais. J’ai vécu mon enfance et adolescence en HLM, élevé sans aides (car à l’époque il y en avait pas) par ma mère qui s’est crevé la santé dans une usine de m.... Alors, voyez vous le problème des cas soc’, je connais ultra bien. Je me suis sorti tout seul de ce bourbier, et croyez moi, c’était loin, bien loin d’être simple. L’élément qui a changé est qu’aujourd’hui les cas soc’ ont le droit de faire n’importe quoi, alors qu’avant non. Ils n’étaient pas sur protégés, alors qu’aujourd’hui ils ont droit quasiment à l’impunité totale. Je n’ai rien contre les cas soc’ mais j’ai horreur des imbéciles et des profiteurs du système en tout genre d’ailleurs, qu’ils soient riches ou pauvres. C’est très facile, comme une poignée sur ce fil de pousser des cris d’Orfraies en plaignant les pauvres cas soc’. Mais, chacun est responsable de sa condition, chacun est responsable de sa vie, chacun a la responsabilité de s’éduquer ou de rester analphabète. Si on veut se sortir d’une certaine condition, on peut. La seule condition est de le vouloir. C’est la où est le problème. Est-ce que l’on veut progresser ou régresser ? Une société à le devoir d’aider les plus démunis, mais aider veut dire éduquer, orienter quelqu’un à prendre des responsabilités. Pas juste lui donner du pognon.